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Kouadri, le président qu’il faut à la …

Heureusement, on trouvait de temps en temps, un magistrat qui vaille le coup qu'on en parle. Mohamed Kouadri en est un! Il était jusqu'à sa nomination à Médéa au précieux poste de président de cour, vice-président de la cour et président de chambre de la cour de Blida, où il a rencontré son ami et collègue de la même promotion, Hadj Rabah Barik qu'on devrait mettre au poste spécifique qu'il mérite, sans être gêné le moins du monde. Quant à Kouadri, il n'était pas resté de longues années dans la ville des «Roses», contrairement à Boumerdès, ex-Rocher Noir, qu'il adopta pour y avoir passé un peu plus de 14 longues années, sans histoire aucune.
Estimé au plus haut degré par ses collègues et aussi par les cadres de la chancellerie, il ne manquait à ce valeureux magistrat, que le coup de pouce révélateur de ses talents pour être nommé dans un poste spécifique. En étant le second du remarquable Abderrazak Bensalem, alors président de la cour de Blida, Kouadri avait démontré, malgré le court temps passé, de très bonnes dispositions à diriger les magistrats du siège, administrativement, s'entend, sans peine.
C'est pourquoi, lorsque nous apprîmes que Mohamed Kouadri avait été nommé président de la cour de Médéa, nous avons pensé à un petit hommage mérité en direction de cet exemplaire magistrat, longtemps, jeté aux oubliettes, comme des dizaines d'autres, pas franchement assez bien gâtés par la tutelle, une tutelle à plaindre plutôt qu'à condamner pour le monstrueux boulot que font les heureux locataires des hauteurs d'El Biar (Alger) où Dame justice demeure la reine des lieux!
A.T.

De Quoi j'me Mêle

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