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Corps brûlé d’une femme à El Eulma

Les présumés assassins de Kenza arrêtés

4 personnes sont suspectées d’être derrière cet abominable crime. Le principal accusé et ses deux présumés complices, ont été placés sous mandat de dépôt. C’était des voisins de Kenza…

Rebondissement de l'affaire du crime crapuleux commis contre la jeune femme B. Kenza, dont le corps a été retrouvé carbonisé, couvert d'une pile de pneus, dans la soirée de mercredi dernier, dans la forêt de Faid Gharib, dans la commune de Bazer Sakra. L'enquête menée, par la police judiciaire et la Gendarmerie nationale de Sétif, a porté ses fruits, avec l'arrestation des quatre personnes présumés assassins de la victime. Les mis en cause dans cette affaire habitaient le même quartier que Kenza. C'est ce qui ressort des explications fournies par le procureur de la République près le tribunal d'El Eulma. Trois personnes ont été placées, lundi dernier, en détention provisoire pour leur implication dans la mort de la jeune femme, tandis que le quatrième, en ce qui le concerne a été placé sous contrôle judiciaire pour «non-dénonciation d'un crime dont il avait connaissance».
Selon le magistrat, les trois prévenus S.A., H.A. et R.F., qui sont poursuivis pour «formation d'une association de malfaiteurs dans le but de commettre des homicides intentionnels avec préméditation, de violences volontaires et d'enlèvement ayant entraîné la mort de la victime». Suite à une enquête approfondie, le suspect S.A. a indiqué aux services de la police judiciaire l'emplacement exact du cadavre de la jeune femme et révélé l'implication de trois autres personnes dans ce crime, à savoir H.A.R.F. et H.L. Concernant les causes ayant conduit à la mort de la jeune victime, le procureur de la République a précisé que «la défunte a été retrouvée recouverte de ciment», tandis que «sa tête et ses épaules, étaient entièrement carbonisés après avoir été brûlés à l'aide d'un pneu». S'appuyant sur le rapport du médecin légiste et se référant aux déclarations des mis en cause, au cours de l'enquête, le même magistrat a estimé que «les brûlures avaient pour but de défigurer la jeune fille afin qu'elle ne soit pas identifiée». 

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