{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Liquidation de magistrats?

Qui ne se souvient de la fin de carrière en «queue de poisson»des magistrats voués pourtant à des carrières exemplaires, tels Foudhil Laïch, le juge de Blida, Khaled Achour, ancien sympathique et dévoué président de la cour d'Alger, d' Ahmed Saâdoun, de l'ex-dernier président de la chambre administrative de la cour d'Alger, qui a écopé de 3 ans fermes pour un soi- disant harcèlement sexuel à l'encontre d'une greffière chevronnée, qui a marché, souffle-t-on, dans les milieux judiciaires, dans une sombre et lâche machination «copinage - judiciaire» pour punir le débonnaire président de la chambre administrative d'Alger, d'avoir refusé de dire «oui» à un complot contre Ali Benflis, alors, le puissant et respecté secrétaire général du parti FLN, au pouvoir de l'époque! Pour la petite histoire, précisons que les deux magistrats auteurs du coup de force contre Saâdoun, ont été humiliés, malmenés et liquidés «debout» de la magistrature, par la clique qui les a très bien utilisés! C'est une éternelle répétition de l'histoire du citron pressé, pressé puis jeté aux oubliettes! N'est-ce pas Kaddour? Ce qui était surprenant, c'est qu'à chaque fois qu'un magistrat était «remercié», plus personne parmi sa seconde famille des «robes noires», ne l'appelait, ni ne répondait à ses appels souvent répétés. Un deal semblait lier les magistrats opprimés. Chacun d'eux avait son secret et se passait de le raconter même aux plus intimes! Un procureur général était bercé dans les eaux calmes d'un étang, se trouvait subitement lâché par les siens, et en avant pour la médisance, les longs et dérangeants chuchotements, les murmures douteux et les éclats de rire au passage dudit magistrat! Combien de juges du siège, de procureurs, de juges d'instruction, de présidents de tribunaux, de directeurs centraux du ministère de la Justice, de présidents de cour, ici, nous pensons à deux exceptionnels chefs de cour «renvoyés» parce qu'un wali poursuivi au moment des faits, a cru bon de les citer comme bénéficiaires de logements sociaux, comme tous les citoyens de la wilaya, en précisant que ces logements relevaient des Opgi, donc payables à long terme.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours