{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Pauvres sièges!

Mais qu'arrive-t-il à nos compatriotes- visiteurs qui ne se gênent pas de mal se comporter, car là ils où ils passent, ils laissent derrière eux, des traces d'incompréhensibles actes de vandalisme. Est-ce fait exprès? Est-ce là un acte involontaire? Mystère qui ne sera jamais dévoilé, puisqu'il n'y a aucune raison à continuer à dégrader le bien public!
D'ailleurs, nous dit-on, l'expression «beylik» date de plusieurs siècles, et, de l'ère ottomane (Othmanie). Etait-ce une forme de résistance à l'occupation ottomane?
Possible, mais cela fait bien longtemps que tous les colonialismes et leurs féroces troupes ont déguerpi!
Dans toutes les salles d'audience où nous nous rendons, un triste et désolant spectacle s'offre à nos yeux.
Il est même insupportable, tant les bancs réservés au public sont dans un état déplorable, surtout l'arrière, les semelles ayant causé les dégâts que l'on devine.
Les secrétaires généraux des cours de justice, qui s'occupent normalement du mobilier des juridictions devraient tenir des séances de travail avec les policiers affectés dans les salles, et arrêter un canevas pour maintenir le matériel dans un bon état, les évènements que connaît le pays, ne permettent plus le gaspillage. Mais, entre-temps, les gens ne veulent pas comprendre que tout matériel mis à la disposition du public, coûte les yeux de la tête au Trésor public qui n'a pas besoin de tels «massacres» et de plusieurs «trous» dans le fonctionnement des dépenses publiques déjà mises à mal par les nombreux et nuisibles détournements de fonds publics et dont les premiers auteurs, voire, les premiers opérateurs ont été punis par la justice qui n'avait sous la main que les lois pondues sous l'ancien régime dont les «armes» viennent d'être abattues par la nouvelle Constitution de 2020! Cela ne peut empêcher les citoyens d'être au fait des dépenses inutiles pour ce qui est de la sauvegarde des biens mis à leur disposition.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré