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Un juge à la hauteur

Tous les mercredis, au controversé tribunal de Chéraga (cour de Tipasa), un jeune juge du siège fait plaisir à voir rendre justice depuis neuf heures du matin jusqu’à la fin des débats qui peuvent aller jusqu’à 15 heures, quelquefois quand le rôle est monstrueux. Et dans cette juridiction redoutée par le fait de sa proximité avec le « club des Pins », qu’elle est au seul service de la... mafia !
Ce jeune magistrat est une lumière par son sens de la parcimonie, de la droiture, de l’intégrité et de la compétence. Il rappelle étonnamment les Derrouiche Hadj Benouatas, Bouhadja Boutaba, Khadidja-Lila Benhamlet, Nadjia Nafai-Mellal, Hadliz Maïche (qui fait actuellement les beaux jours d’un solide service au ministère), Mehdi Kouchih, Hamid Tahri, Katia Allèche, Belkheir Denni et autres Mounira Nasser.
C’est de bon augure de découvrir, fin 2019, un jeune qui soulève tant d’admiration, surtout après un mois de l’appel qu’a lancé le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Belgacem Zeghmati.
En effet, le ministre a insisté sur le concept de l’indépendance de la justice, un concept en or qu’il faut impérativement couver jusqu’à ce que l’objectif espéré soit atteint, car il le sait très bien, l’indépendance de la justice ne se décrète point. Elle s’acquiert de jour en jour. Elle demande de solides sacrifices inestimables de la part des magistrats, car l’objectif à atteindre est la liberté des gens.

De Quoi j'me Mêle

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