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Zeghmati a fendu l'armure

Lorsqu'il est revenu aux affaires à la tête du parquet d'Alger, Belgacem Zeghmati, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, n'avait que le souci de voir au plus vite la réparation de la climatisation, laissée aux quatre vents depuis belle lurette par les responsables de la cour d'Alger, occupés par d'autres soucis que les justiciables, leur accueil, encore moins, leur confort. Mais le destin de Zeghmati, va basculer puisque le nouveau pouvoir fait appel à lui pour prendre en main la magistrature, et dans quel état!
Le pot qu'il a eu, c'est que le personnel, lui est entièrement acquis, enfin, presque car avec son arrivée, des départs de certains cadres, sur la pointe des pieds, sont signalés. Qu'importe!
Le nouveau ministre de la Justice, prend le taureau par les cornes, et va engager une lutte sans merci à tous les chefs de cours qui, jusque-là, se fatiguaient à ne rien «entreprendre» en direction du justiciable! Après avoir pris soin de nettoyer les contours du ministère, Belgacem Zeghmati s'attaqua aux textes.
Les textes! Ya Allah, que n'a-t-on soi-disant rédigé de textes «copiés» sur ceux de l'ancien occupant, l'excuse que c'était le pays des «droits de l'homme et du citoyen», sauf que c'était en 1789! Les Robespierre, Danton, et autres Marat, et ces révolutionnaires n'avaient rien à voir avec les Bugeaud, Massu, Le Pen et le sinistre Bernard Henri-Levy!
Le moment est vraiment venu pour les rédacteurs du ministère de la Justice de pondre des textes algériens! Algériens par le style, algériens par le fond!

De Quoi j'me Mêle

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