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Violé avec violence

Le gus avait 35 ans au moment où il attira un bel ado de 17 ans, chez lui, avant d'abuser de lui.

L'affaire qui nous intéresse, aujourd'hui, c'est encore une fois, malheureusement, déroulée dans une localité du nord-est du pays, une cité où la culture a une place prépondérante, malheureusement brouillée provisoirement par le néfaste comportement d'un émigré retenu depuis mars 2020, par le «Covid-19», par la faute d'absence de vols vers l'Europe.
À défaut de loisirs dans son pays, Amir N. s'ennuie à en mourir, lui, l'émigré de Soissons, cette ville de France qui continue à attendre le retour de son fameux... «Vase»! Ne connaissant plus de compatriotes susceptibles de lui tenir compagnie, il va à la recherche de gars bien sous tous rapports et plus, si affinité! Comme il l'avouera plus tard devant le tribunal, il faisait partie d'un club de gays de la région, et à défaut de nouveaux camarades en vue de lui tenir compagnie en ces jours de confinement en Algérie, il passe à la chasse de jeunes capables de répondre à ses désirs bestiaux, lui l'active «bête non rassasiée» de chair juvénile! Alors, comme il l'expliquera au cours de son court procès, il établit un plan de recherche d'une proie facile à embobiner. Après quoi, il passera à l'action pour se délecter d'un agréable compagnon. Il ne restera pas longtemps pour dénicher l'oiseau rare et le trouvera là, tout près, et prêt à la «consommation». Comme la ville n'a plus la jolie empreinte d'antan, elle est devenue un mélange de personnes venues d'un peu partout du pays, car le manque de cadres locaux, a fait que l'Etat a fait appel aux compétences des environs de la région. E.C. est un joli garçon élégant, de 17 ans, lycéen en vacances forcées, qui est constamment courbé sur son smartphone, en train de sauter d'un jeu à un autre, histoire de tuer le temps, au moment où le monde entier se confine en attendant que «Messire Covid-19» s'en retourne chez lui. Il ne se doute pas un instant qu'Amir l'a remarqué depuis un bon bout de temps, et il n'attend que le moment favorable pour passer à l'action! Ce moment se présentera un dimanche matin, lorsque vint à passer E.C. Amir l'interpelle à la manière des copains.
Et l'homme d'être plus tranchant: «Eh, mon copain, veux - tu me ramener un marteau de chez toi, j'en ai besoin pour enfoncer des clous à la porte d'entrée, stp? Je suis à la maison, seul, entre sans frapper, tu seras le bienvenu!
Il est aujourd'hui debout à la barre et, du haut de ses 170 centimètres, il regarde droit la composition correctionnelle comme si la vérité qu'il cherche tant, se trouve dans la poche du président! L'inculpé risque gros avec l'application de l'article 333- (loi n°82-04 du 13 février 1982) qui dispose que: «Toute personne qui a commis un outrage public à la pudeur est punie d'un emprisonnement de deux mois à deux ans et d'une amende de 500 à 2000 DA. Lorsque l'outrage public à la pudeur a consisté en un acte contre nature avec un individu du même sexe, la peine est un emprisonnement de six mois à trois ans et d'une amende de 1000 à 10000 DA.»
Le président ouvre les hostilités, car la victime du traquenard, E.C. était sur un lumineux braséro. Il fulminait. Il voulait crier son désappointement, sa colère contre ce qu'il endure depuis belle lurette, car le procès é été renvoyé quatre fois pour des raisons objectives. Il se remémore, depuis le temps où il a été attiré par un voisin de passage, dans un véritable guet-apens durant lequel, il apprendra l'autre face des gens... «Un étranger venu visiter la localité de ses parents, qui s'en prend à l'honneur de toute une famille! Sacré destin que celui de l'émigré! Heureusement, que tous les émigrés n'ont pas cette audace!»
L'unique défenseur de l'inculpé, n'a visiblement pas autre chose à dire que de demander au juge de ne pas retenir les circonstances aggravantes, expressément demandées par le sévère et impitoyable représentant du ministère public, qui n'a pas oublié que l'ado a eu très mal physiquement et moralement.
Physiquement, d'abord, car la pénétration avait été effectuée avec force, car le consentement de la jeune victime n'y était point, et moralement, l'ado ne pouvant supporter que cet acte lui fut arrivé! Les 5 ans d'emprisonnement ferme, donneront à réfléchir aux amateurs de...

De Quoi j'me Mêle

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