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Programme présidentiel

80% des engagements réalisés

L’Algérie a introduit plusieurs changements réglementaires pour attirer les investissements étrangers.

La stabilité politique influence le climat économique. Tout développement repose sur trois piliers: une bonne politique économique, un environnement juridique et politique approprié et un développement social équitable. Pris isolément, aucun de ces piliers ne peut garantir le développement. Si l'on néglige l'un ou l'autre, le progrès économique sera aussi fragile qu'un géant aux pieds d'argile.
En effet, les avancées politiques peuvent parfois masquer des problèmes économiques qui peuvent dégénérer en conflits sociaux.
Un triptyque assimilé par l'Algérie qui, ces trois dernières années, mène, d'une part, une transition politique harmonieuse conforme aux principes constitutionnels et à la volonté populaire, et, d'autre part, une relance économique basée sur la valorisation des capacités nationales et la libération des initiatives et des énergies de la jeunesse.
Une stratégie adoptée aussi bien par le citoyen que par les différentes forces vives du pays. Un constat mis en relief par les spécialistes et experts, rapporte l'APS qui rappelle que le président Tebboune a livré, dans son premier discours après sa prestation de serment, les principaux axes de cette stratégie dont l'objectif, a-t-il dit, est «de rétablir la confiance du peuple en son État et assurer sa mobilisation (peuple), afin de garantir sa stabilité et son avenir», tout en restaurant l'autorité de l'État, en «classant les priorités et en répondant aux aspirations profondes et légitimes du peuple au changement radical du mode de gouvernance». Des chantiers ayant abouti à la restauration de l'autorité via le parachèvement de l'édification institutionnelle, parallèlement à la moralisation de la vie publique, la lutte contre toutes les formes de corruption et la consécration de l'indépendance de la justice.
En somme, plus de 80% des 54 engagements du président Tebboune consacrés. Des réformes à même d'assurer au citoyen un pouvoir d'achat digne. Dans cet ordre d'idées, le chef de l'État a décidé, à travers le projet de loi de finances (PLF) 2023 de renforcer les acquis sociaux à la faveur de ses dispositions visant à améliorer le pouvoir d'achat du citoyen. Pour ce faire, le chef de l'État, tout en maintenant la subvention des produits de large consommation, a décidé une revalorisation des salaires, des pensions de retraite et de l'allocation chômage.
Une augmentation effective à partir du mois de janvier prochain. En outre, le président Tebboune a exonéré de l'Impôt sur le revenu global (IRG) tous les salariés dont les revenus ne dépassent pas les 30 000 DA, et sa réduction au profit de plus de neuf millions de citoyens. En somme un consensus de réformes dont l'économie nationale a besoin pour sa relance. Une relance de l'économie nationale à même de répondre aux aspirations du peuple et de libérer l'Algérie de la dépendance excessive des importations. D'autant qu'un millier de projets en souffrance ont été débloqués. Alors que l'attractivité du climat d'investissement a été amélioré après la refonte du cadre juridique de l'investissement. En effet, la nouvelle loi sur l'investissement a introduit plusieurs changements réglementaires pour attirer les investissements étrangers.
Néanmoins, beaucoup reste à faire. Le parachèvement du projet de loi sur la monnaie et le crédit est l'autre chantier auquel s'attelle le président de la République pour parachever son programme électoral.

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