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860 puits d’exploration seront forés entre 2021 et 2025

L’Algérie veut faire son plein de pétrole

Le pays cible 196 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP) en 2025, soit 8% de hausse par rapport à la production de 2020.

La Compagnie nationale des hydrocarbures, va consolider son statut d'épine dorsale de l'économie. Elle la porte à bout de bras et assure l'essentiel des revenus du pays. Ils seront d'ailleurs assez conséquents cette année.
9 milliards de dollars de plus, durant les trois premiers trimestres de 2021 par rapport à l'an dernier.
Une embellie qui est due au niveau du prix du pétrole, qui évolue nettement au-dessus des 80 dollars actuellement. Le secteur pétro-gazier ne compte pas pour autant s'endormir sur ses lauriers. 860 puits d'exploration seront forés entre 2021 et 2025. Le pays cible 196 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP) en 2025, soit 8% de hausse par rapport à la production de 2020.
L'Algérie mise sur le forage de 860 puits d'exploration et de développement des hydrocarbures entre 2021 et 2025, avec une moyenne de 172 puits/an, dans le cadre de la nouvelle dynamique du secteur, faisant suite à l'application de la nouvelle loi sur les hydrocarbures, a déclaré, mardi, le ministre de l'Energie.
L'entrée en vigueur de la nouvelle loi sur les hydrocarbures permettra de promouvoir le patrimoine national en hydrocarbures, à travers l'octroi d'avantages aux opérateurs nationaux et étrangers, soulignant que le forage de ces puits permettra d'appuyer la production globale en hydrocarbures, a ajouté Mohamed Arkab, lors de son audition par la Commission des finances et du budget de l'Assemblée populaire nationale (APN), dans le cadre du débat sur le projet de loi de finances 2022. Cette production devrait atteindre 196 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP) en 2025, a-t-il précisé, soulignant que la capacité de production de l'électricité sera également revue à la hausse, pour atteindre 31 gigawatts d'ici 2025. Ce ne sont pas les seules missions qui seront assignées au secteur pétro-gazier. Celui-ci contribuera aussi à la mise en oeuvre du Programme national des énergies renouvelables, à travers la réalisation de projets de centrales solaires, avec une capacité globale de 500 mégawatts.
Le lancement des principaux projets structurants, dans la branche des mines, à l'instar du projet de Ghar Djebilet, pour la production de fer, du projet intégré de transformation du phosphate, outre les projets de développement de la pétrochimie du groupe Sonatrach prévus en 2022, permettront d'augmenter la valeur ajoutée de l'économie nationale, de renforcer les exportations hors hydrocarbures et de créer des postes d'emplois directs et indirects pour l'absorption du chômage, a indiqué le successeur de Abdelmadjid Attar.

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