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La santé des personnes avant tout !

Priorité. Le chef de l'Etat a tenu un discours à la nation hier. L'Algérie, comme tous les autres pays de la planète, mène une guerre inédite contre un virus inconnu jusque-là. C'est toute la difficulté d'établir un plan de lutte préétabli contre cet ennemi invisible et surtout impossible à «neutraliser». Comme pour tous les virus, il n'y a pas de traitement. Comme pour tous les virus il faudra chercher le vaccin. Ce qui nécessite des mois de recherches. Mais en attendant, il faut protéger les populations. C'était l'unique souci du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui a annoncé, hier, les dernières mesures rendues indispensables par l'évolution de la pandémie dans notre pays.
12 décisions qui viennent s'ajouter à celle de la fermeture des établissements scolaires. Si la plupart des décisions du président sont ce qu'on appelle des mesures barrières qui «cassent» la propagation du virus, le chef de l'Etat y a ajouté la lutte contre la désinformation et la spéculation. Il va sans dire que nous vivons une période particulière qui fait partie des catastrophes naturelles. Dans ces moments-là, il y a toute une faune qui surgit et qui se subdivise en deux blocs. Le premier bloc est composé d'éléments au service d'officines étrangères qui oeuvrent à pousser le pays vers le chaos tandis que le deuxième bloc est constitué de spéculateurs à l'affût du moindre prétexte pour «chauffer» les prix des produits de première nécessité. A ces deux genres d'individus, le président Tebboune leur a promis toute la rigueur de l'autorité de l'Etat. Ce qui explique la présence des responsables des services de sécurité à la réunion du matin présidée par le chef de l'Etat. Il est clair que toutes les mesures annoncées par le président, hier soir, tendent vers un confinement que les ministres concernés suivront de près. C'est l'unique moyen dont dispose, à l'heure actuelle, l'humanité pour se protéger contre ce coronavirus. L'aspect économique de cette pandémie et ses répercussions dans notre pays n'ont pas été abordés par le chef de l'Etat. Sa priorité, a-t-il rappelé, est d'abord et avant tout la santé des Algériens. Rien non plus au sujet des réformes en cours comme le projet de la Constitution qui doit être débattu par le Parlement. Dans cette guerre sanitaire, les mesures sont adaptées à l'évolution de la situation sur le terrain. Dans le calme, l'ordre, la discipline et la solidarité, le virus sera vaincu!

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