{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Les néo-harkis donnent «l’assaut»

Bon signe. La «section médias» des officines étrangères hostiles à l'Algérie vient de recevoir une nouvelle feuille de route. Les donneurs d'ordres avaient misé sur la pandémie du Covid-19 pour nous «faire la peau». à cet effet, leurs affidés étaient instruits de guetter la moindre anomalie dans la gestion par nos autorités dans la lutte contre le coronavirus. Sur les tests. Les masques. Les équipements. Les mesures de confinement.
L'approvisionnement des marchés. Etc, etc. Après avoir constaté que l'Etat algérien a si bien mené cette lutte que l'espoir d'une victoire proche ne fait plus de doute, les décideurs de ces officines ont décidé de passer à autre chose. Profitant de l'attention soutenue de nos dirigeants sur le double plan sanitaire et économique, comme dans tous les pays de la planète, la «section médias» de ces officines a été instruite pour s'attaquer aux institutions les plus stratégiques de notre pays. Avec une répartition des rôles bien élaborée. Voici quelques échantillons. Josée Garçon, journaliste française qui avait, plus jeune dans les années 80, ses «entrées» en Algérie, a donné le «la» avec un article dégoulinant de haine, sur sa vision étriquée de l'Algérie passé, présent et futur. Elle a failli reconnaître la bonne gestion du coronavirus par l'Algérie. L'autre journaliste français n'est autre que Nicolas Beau. Sa carte de visite mentionne qu'il est un ancien journaliste du Monde. Il dirige aujourd'hui un site où l'orientation anti-algérienne tient de «l'arête coincée dans la gorge». Il n'hésite pas à reprendre «par solidarité» dit-il, un article outrageant contre notre président de la République. Un article qui avait été publié sur le site dirigé par un ancien activiste algérien d'extrême gauche financé par l'étranger comme l'a révélé notre ministre de la Communication, Ammar Belhimer. Journaliste de longue date, Belhimer est décidé à assainir le secteur. Il en a la compétence. C'est pourquoi il a été pris à partie par un autre site tenu à l'étranger par un Algérien qui n'a rien de journaliste. Tout comme un autre site, dirigé par un Algérien qui se croit journaliste investigateur, vise nos institutions les plus prestigieuses. L'armée, la Dgsn, le ministère de l'Energie, etc. Il passe son temps à déblatérer face à la caméra en lisant «la voix de son maître» sur son smartphone-prompteur. Comme il le dit lui-même: «Nous reviendrons sur cette section médias.» C'est promis!

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours