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Télévisions algériennes:La guerre du Ramadhan a commencé

Comme chaque année, la bataille audiovisuelle durant le Ramadhan va occuper un espace important entre drama et émissions. Cette année, une chaîne va apparemment va faire le buzz, c'est la chaîne Samira TV qui aura le privilège de diffuser la dernière production de Djaâfar Gacem Dar El Fechouch. Le réalisateur de Achour El acher a repris presque les mêmes comédiens avec qui il travaillait, seule Souhila Maâlem manque à l'appel. La chaîne gastronomique s'est visiblement transformée en chaîne généraliste en proposant plusieurs programmes de divertissement.
À cela s'ajoute des programmes culinaires, avec la très célèbre Oum Walid dans un décor de science-fiction. Samira TV devra faire face à l'Entv deuxième grand investisseur en production audiovisuelle, avec notamment quatre feuilletons dramatiques et huit sitcoms qui seront proposés cette année aux téléspectateurs. Ainsi sur la chaîne terrestre et sur la 6 (El Chababia), il vous sera donné de suivre El Dama, un feuilleton dramatique signé Yahia Muzahem qui sera décliné sur 26 épisodes. Sur Canal Algérie l'Entv propose Harat El chouhada de Mehdi Tsabast, qui retrace un drame social s'étalant sur 30 épisodes. À cela s'ajoute le feuilleton Aïn Djenna de Karim Moussaoui. Sur Echourouk, il y aura deux grandes productions dramatiques. La plus attendue demeure «El ikhtiar el ouel», (le premier choix), une suite de Ahouel El nass de Reda City 16, avec une pléiade de plus de 60 comédiens venus d'Algérie et de Tunisie comme Youcef Sehaïri et Kenza Morsli. Il y aura également le feuilleton Hdach (11) avec Youcef Sehaïri, Malika Belbey, réalisé par Oussama Koubi, un réalisateur venu de la publicité. Beaucoup de téléspectateurs, attirés par des programmes les années passées, espèrent que la qualité, d'un point de vue scénaristique s'entend, soit de mise cette année. En effet, beaucoup de choses sont apparues dans les bandes-annonces de certains programmes, la violence, la drogue et même la prostitution. À cet effet, l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav) a rappelé, dans un communiqué, à tous les acteurs du secteur la nécessité de contrôler leurs programmes, en respectant les spécificités du mois sacré de Ramadhan, et de ne pas se laisser emporter par l'appât du gain. «Tous les acteurs du secteur de l'audiovisuel sont tenus de contrôler leurs programmes, en respectant les spécificités du mois sacré de Ramadhan, ainsi que les règles d'éthique et de déontologie, et de ne pas se laisser emporter par l'appât du gain et l'audimat, d'éviter toutes formes de violence, et de respecter le référent religieux national», précise un communiqué de l'Arav. 

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