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Ali et Fatima: 30 ans plus tard...

Ali K. est un sexagénaire de Kouba (Alger), qui se trouve au bord du désespoir, pour sa villa enviée par une femme acharnée, qui prétend depuis 29 ans, être une héritière, alors que...

A.K. le propriétaire en sursis de Kouba, s'interroge sur un attendu de Djamila Khanouf, l'ancienne valeureuse juge du siège, de la cour d'Alger, qui a introduit une phrase qui aurait dû pousser, ceux qui ont «cassé» l'arrêt, de cesser de harceler le légitime propriétaire de la villa de l'Appreval. Follow-me: «Fatima K. a répondu à la question de la présidente de la chambre pénale d'Alger, relative à l'appartenance du terrain sis à Kouba. Fatima K. répondit qu'il appartenait à Ali K.» Et le pauvre Ali K. de se lamenter que cette femme continue d'avoir du «renfort hors des juridictions compétentes», en plus des faux qu'elle a introduits, notamment son faux acte de mariage avec Bachir K. pour avoir chaque fois, gain de cause!» Ali K. une victime d'une seconde expulsion de sa villa par une pseudo-héritière, a longuement expliqué au président de la chambre pénale, l'affaire de bout en bout, avec le ferme espoir de voir la cour, enfin, sensibilisée autour du dossier durement constitué, trancher une bonne fois pour toutes. Rappelons que Fatima K. court derrière Ali K. assistant sa maman, El Hadja s'était présentée chez Ali K. en 1992, demander sa part d'héritage, du fait d'une alliance présumée! Alors qu'il n'en était rien, elle, qui a toujours prétendu être la femme légitime de mon oncle, était déjà... mariée! La vieille qui mourra, en 2021, sans avoir eu gain de cause «définitivement», presque 30 ans après, la bagarre continue, Fatima. K. la fille de la vieille reprenant les arguments de la maman, bien que la loi ait ordonné, en 2015, la restitution de la villa à Ali K. qui a toujours considéré, comme à lui, seul, la villa de Kouba, érigée sur un terrain «bien de l'Etat» appartenant au feu vieil oncle Bachir K. qui se désistera en faveur d'Ali. K. En 1981, puis, à la suite de l'égarement du dossier par l'Opgi d'Hussein Dey, renouvelé en 1985! C'est alors que la vieille dame, après le décès de Bachir, se présenta chez Ali K. en se prévalant d'être la veuve du défunt! Tombant du septième ciel, Ali le plus mauvais après- midi de sa vie. Repartie sur Tarik Ibn Zied, (wilaya de Tissemsilt), elle se démena, depuis 1994, dans une lutte sans merci, pour accaparer le terrain de 454 m2. Aujourd'hui, allez raconter à Ali K. que la justice existe dans notre pays! Il vous rira au nez, en posant une pertinente question: «Puisqu'il y a une justice, pourquoi a-t-on relancé l'affaire qui dure maintenant depuis 1992? Que voulez-vous? Que je reste les bras croisés? Ou, voulez-vous que je quitte mon domicile, les bras ballants, résigné, devant ce coup du sort, un coup monté de toutes pièces par une femme diabolique aidée en cela par des fonctionnaires véreux, sans conscience, que l'appât du gain facile a amenés devant le pas de ma villa?»
dit Ali K. qui a ajouté, nerveux: «J'ai toujours su, depuis que mon affaire a commencé, que la justice était lente, lourde et qu'il fallait être patient pour voir la justice se prononcer sereinement, loin de tout interventionnisme.» En effet, grâce à la justice qui a pris son temps. Ali K. a repris son bien après avoir été malmené, expulsé, humilié, écrasé par les dépassements d'une femme qui a mordu l'interdit, et ne lâcha pas prise après que la justice eut décidé, en toute honnêteté, que le droit prenne le pas sur l'interventionnisme! Que devient l'ordre du ministre de la Justice, de mettre cette femme à la porte du ministère de la Justice, en 2015? Se débrouillant avec la complicité de certains ex- chefs de cour, des conseillers à la cour, cette femme a encore une fois réussi à remettre sur les rails, une affaire qui est supposée, terminée, et bien finie!
Oui, Belgacem Zeghmati est parti, mais la justice elle, demeure, avec ceci de particulier: elle se montre toujours aussi énigmatique, déroutante, déstabilisante et souvent démoralisante! En 2020, Fatima reprend de plus belle, la «lutte»! Dites- moi, à quand la fin de mes nombreuses et palpables souffrances?

De Quoi j'me Mêle

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