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Ça sent le fumier !

La France raciste, xénophobe, qui a l’indépendance de l’Algérie en travers de la gorge, persiste dans ses mensonges, ses calomnies, ses accusations injustifiées pour diaboliser l’Algérie qui, de son côté, lorgne vers son destin. Un destin de nation émergente qui lui est promis. De pays souverain que semblent ignorer cette droite et extrême droite françaises, fascistes qui, après avoir accusé l’Algérie de recevoir une prétendue aide au développement qui n’existe que dans leurs délires, a remis cela avec une histoire tout aussi fantasmée de dette qu’elle doit aux hôpitaux français. Des ragots de concierge ! Mais ne voilà-t-il pas qu’acoquinées à un Parlement européen qui a en partage leur idéologie elles exigent la «libération immédiate» de Boualem Sansal, qui, à leur solde, a porté atteinte à l’intégrité territoriale du pays, en déclarant que son côté ouest appartenait au Maroc. Exiger cela d’une république bananière pourrait passer comme une lettre à la poste mais l’exiger de la République algérienne souveraine et fière de l’être relève de l’immixtion dans les affaires d’une nation qui a fait de l’ingérence un principe et qui, de surcroît, préside le Conseil de sécurité de l’ONU. Une infâmie ! Où sont passées les voix de la droite et de l’extrême droite françaises et des députés européen lorsque l’entité sioniste procédait au génocide du peuple palestinien ? Pourquoi n’ont-ils pas exigé l’arrêt du massacre de ses enfants ? Qui ne dit mot consent, dit-on. Leur caution de ce drame, de cette tragédie est incontestable. Elle les poursuivra jusqu’à l’éternité comme les poursuivront les fantômes des victimes des essais nucléaires de l’armée coloniale française. Et Oui ! L’histoire est un acteur hors pair. Il remet sur scène cette tragédie dont le 64e anniversaire sera commémoré le 13 février. Pour nous rappeler ce passé très peu glorieux de cette France dont sont nostalgiques ceux qui tirent à boulets rouges sur l’Algérie. La première bombe atomique française, qui avait pour nom de code Gerboise bleue, a explosé le 13 février 1960, à Reggane, à 135 km à vol d’oiseau au sud-est d’Adrar. D’une puissance de 70 kilotonnes, elle représentait l’équivalent de quatre fois celle d’Hiroshima. 30000 Algériens au moins ont été irradiés alors que des enfants de la région naissent encore aujourd’hui handicapés en raison de la pollution radioactive. Des soldats ayant servi sous le drapeau français ont été volontairement exposés aux irradiations émises par les essais nucléaires. Oui, des soldats de l’armée française ont servi comme cobayes. Un autre visage de la présence française en Algérie dans ce qu’elle recèle de plus atroce, de dramatique et d’inhumain. Et elle ose parler d’aide au développement… Ça sent vraiment le fumier !

De Quoi j'me Mêle

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