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Un cap à maintenir

L'ambition de l'Algérie est claire: se développer économiquement. Un objectif qui s'est esquissé, voire même imposé dès le lendemain de son indépendance. Un exercice auquel elle se frotte encore et qui durera tant que l'objectif n'est pas atteint. Les toutes récentes déclarations du ministre d'État, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines, lors de sa visite à Burundi montrent à quel point le pays est disposé à relever le challenge, mais aussi à servir de locomotive au niveau continental. «Le président Evariste Ndayishimiye partage avec le président Abdelmadjid Tebboune cette idée de faire de nos deux pays et de nos deux nations d'abord des nations émergentes, ensuite des nations développées», a déclaré jeudi à Bujumbura, Ahmed Attaf. Le chemin a été tracé juste après l'élection d' Abdelmadjid Tebboune à la présidence de la République en décembre 2019. Le début de son mandat coïncidait avec l'apparition de la crise sanitaire de Covid-19. C'est dans le sillage de cette pandémie que se tiendra, au mois d'août 2020, le Plan de relance économique et une Conférence nationale sur la start-up au début du mois d'octobre de la même année. Le premier magistrat du pays lancera un appel qui signera la fin du règne de la rente pétrolière. La dépendance quasi totale de l'économie nationale à la rente pétrolière «est fatale pour l'intelligence et l'esprit d'initiative», avait souligné le chef de L'État. L'Algérie engagera des réformes historiques et lancera des projets économiques d'envergure internationale (exploitation des gisements de fer de Ghar Djebilet, de zinc-plomb d'Amizour, de phosphate de Bled El Hadba...) tout en érigeant sa sécurité alimentaire comme priorité absolue. Autant d'initiatives de premier plan que des parties malveillantes essayeront vainement d'occulter en tentant de ternir l'image d'une Algérie en marche vers son destin, vers un avenir qui s'annonce des plus prometteurs. C'est ainsi que l'on a tenté de greffer sur ce qui est essentiel pour le pays, son développement économique, ce que l'on considère de l'autre côté de la Méditerranée, la France notamment «les affaires Boualem Sansal et Kamel Daoud». Les chiffons agités autour d'elles ne feront pas de l'ombre aux performances économiques remarquables du pays souligné, leur en déplaise, par une institution financière internationale de renom: la Banque mondiale. La BM affirmant de surcroît que l'Algérie pourrait s'illustrer comme un leader dans la région Mena. Un cap à maintenir...

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