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Les prisonniers de Gdeim Izik déposent à l'ONU une plainte contre le Maroc pour «détention arbitraire»

Dix-huit prisonniers sahraouis du groupe Gdeim Izik, incarcérés au Maroc depuis 2010, ont déposé une plainte contre le royaume du Maroc auprès de l'ONU pour "détention arbitraire" et "actes de torture", a indiqué, hier, le groupe de soutien de Genève pour la protection et la promotion des droits humains au Sahara occidental. "Les prisonniers de Gdeim Izik déposent une plainte contre le Maroc auprès du Groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies" pour "actes de torture" et "répression politique", précise le groupe de soutien dans un communiqué. Le Groupe ajoute que "les Sahraouis qui militent en faveur de l'autodétermination sont soumis à des pratiques discriminatoires et ont été condamnés à de longues peines d'emprisonnement sur la base d'aveux entachés de torture". Ces défenseurs sahraouis des droits humains font partie d'un groupe de 23 Sahraouis condamnés à des peines allant de deux ans de prison à la perpétuité dans le cadre de l'affaire de Gdeim Izik. Pour rappel, quatre plaintes pour torture ont déjà été déposées dé but juin contre l'occupant marocain devant le Comité des Nations unies contre la torture à Genève, avaient annoncé les plaignants et leurs avocats. "Le Service international des droits de l’Homme (ISHR), l’ACAT-France, Me Joseph Breham avec le soutien de Mme Julie Baleynaud, Me Laurence Greig et la Ligue pour la protection des prisonniers politiques sahraouis dans les prisons marocaines (LPPS) préparent depuis plus d’un an des plaintes devant le Comité contre la torture des Nations unies concernant quatre défenseurs sahraouis des droits humains, gravement torturés par les autorités marocaines", avait indiqué un communiqué des plaignants. La LPPS, l'ISHR et l’ACAT-France ont appelé le régime du Makhzen à "respecter les décisions du Comité contre la torture, libérer tous les prisonniers condamnés sur la base d’aveux obtenus sous la torture et assurer leur droit aux réparations". Par ailleurs, la coordination des familles des victimes du camp de

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