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Des dizaines de martyrs et de blessés dans de nouveaux bombardements

L'armée sioniste poursuit ses raids meurtriers

Le bilan de l'agression génocidaire sioniste contre la bande de Ghaza s'est alourdi dimanche à 35456 martyrs et 79476 blessés, depuis le 7 octobre dernier, ont indiqué les autorités palestiniennes.

Les forces d'occupation sionistes poursuivent leur agression et leurs bombardements, pour le 227e jour consécutif, contre diverses zones de la bande de Ghaza, faisant des dizaines de martyrs et de blessés, a rapporté, hier, l'agence de presse Wafa. L'artillerie de l'occupant sioniste stationnée dans l'axe Netzarim, au sud de Ghaza, a tiré des obus sur les zones est du quartier d'Al-Zaytoun, au sud-est de la ville, qui a également été ciblée par deux missiles de l'aviation de l'entité sioniste, souligne Wafa qui cite des sources locales. Dimanche, au moins 3 martyrs Palestiniens sont arrivés à l'hôpital Al-Ahly Al-Arabi Al-Mamadani, suite à des bombardements des avions de combat de l'occupant sioniste à proximité de la mosquée Cheikh Zakaria, dans le quartier d'Al-Daraj, au centre de la ville de Ghaza, ajoute Wafa. Au sud de la ville de Ghaza, l'aviation sioniste a lancé un missile sur une maison du quartier d'Al-Sabra. Par ailleurs, 3 Palestiniens sont tombés en martyrs et d'autres ont été blessés lorsque des avions de combat ont bombardé une autre habitation dans la zone d'Abou Iskandar, dans le quartier de Sheikh Al-Radwan, au nord de la ville de Ghaza. Un correspondant de Wafa a, en outre, rapporté que l'artillerie de l'occupation avait bombardé les zones est du quartier d'Al-Zaytoun dans la ville de Ghaza, au moment où des tirs d'avions Apache ont été signalés dans le camp de Jabalia, au nord. Dans la ville de Beit Lahia, au nord de la bande de Ghaza, au moins 6 Palestiniens sont tombés en martyrs dans un bombardement de l'entité sioniste ayant visé un appartement résidentiel. Dans le centre de la bande de Ghaza, l'aviation de l'occupant sioniste a lancé un missile sur la région d'Abraj Al-Qastal, à l'est de la ville de Deir Al-Balah, et ciblé une maison à l'est du camp de Bureij. Les avions de guerre de l'entité sioniste ont également ciblé un appartement résidentiel dans le quartier de Tal Al-Sultan, à l'ouest de la ville de Rafah, entraînant la mort en martyr d'un Palestinien, de son épouse et de leur fille âgée de 15 mois. Wafa a souligné que l'occupant sioniste a tiré plusieurs obus et ouvert le feu avec des mitrailleuses au large de Rafah, tandis que son artillerie a bombardé la périphérie de la ville d'Al-Qarara, au nord de la ville de Khan Younès. Le bilan de l'agression génocidaire sioniste contre la bande de Ghaza s'est alourdi, dimanche, à 35456 martyrs et 79476 blessés, depuis le 7 octobre dernier, ont indiqué les autorités palestiniennes de la santé.
Les avions de combat et les hélicoptères de l'armée sioniste poursuivent leurs raids incessants contre Ghaza alors qu'aucune perspective d'une fin des hostilités n'est en vue. Le Premier ministre sioniste, Benjamin Netanyahu, est sous pression pour «préparer une stratégie pour l'avenir de la bande de Ghaza» assiégée, dévastée par les bombardements et les combats et menacée de famine. Depuis l'ordre d'évacuation de l'agression sioniste le 6 mai, à la veille de l'entrée des chars dans l'est de Rafah, «environ la moitié de la population de Ghaza» forte de 2,4 millions d'habitants, a été «forcée de fuir» à nouveau, a affirmé, dimanche, Philippe Lazzarini, le patron de l'UNRWA, agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens. Les déplacés affluent massivement à Khan Younès, une ville en ruines plus au nord, mais «il n'y a absolument aucun endroit sûr dans la bande de Ghaza», a-t-il dit. L'armée barbare a intensifié ses opérations au sol, principalement dans l'est de Rafah, adossée à la frontière fermée avec l'Egypte, disant vouloir y «réduire les derniers bataillons du Hamas» alors que les combattants de la résistance lui rendent toujours coup pour coup. Dimanche, le conseiller américain à la Sécurité nationale de la Maison-Blanche, Jake Sullivan, dont le pays dit «s'opposer» comme plusieurs autres capitales à une offensive d'ampleur à Rafah, a appelé Benjamin Netanyahu à accompagner les opérations militaires d'une «stratégie politique» pour l'avenir de la bande de Ghaza. Benny Gantz, membre du cabinet de guerre de Netanyahu, a, lui, menacé de démissionner si un «plan d'action» pour l'après-guerre à Ghaza n'était pas adopté rapidement. Le ministre de la Défense, Yoav Gallant, a sommé Netanyahu de «préparer immédiatement» une «alternative gouvernementale» porteuse d'une domination coloniale manifeste que rejette catégoriquement le peuple palestinien. Le président américain, Joe Biden, dont le pays est le principal soutien du sionisme, a de nouveau appelé à un «cessez-le-feu immédiat pour arrêter les combats et ramener les otages à la maison». Depuis le 7 mai et l'arrivée des chars sionistes à Rafah, les livraisons d'aide humanitaire sont quasiment à l'arrêt. Ce passage est crucial pour les aides dont le carburant, indispensable aux hôpitaux et à la logistique humanitaire.

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