L’Assemblée générale des Nations unies marque l’histoire
La victoire de la cause palestinienne est inéluctable
Les appels se multiplient par un grand nombre des États membres de l’Assemblée générale des Nations unies exigeant que l’entité sioniste devrait mettre un terme à l’occupation des Territoires palestiniens.
L'Assemblée générale des Nations unies (AGNU) est en train de vivre un instant historique sur fond de reconnaissance pleine et entière de la Palestine comme État membre au sein de l'ONU.
Cette première phase qui a été «plébiscitée» par la majorité des pays membres de l'Assemblée générale des Nations unies est dans une dynamique positive quant à l'exigence de mettre un terme à l'occupation sioniste des Territoires palestiniens.
La résolution, qui a été mise au niveau du bureau de l'Assemblée générale des Nations unies, signe une nouvelle ère dans les relations internationales où la Palestine est devenue une question foncièrement internationale dont la majorité écrasante des pays membres de ladite Assemblée générale de l'ONU sont d'emblée aux côtés de la Palestine et soutiennent l'idée de mettre terme à l'occupation sioniste des Territoires palestiniens.
La 10e session extraordinaire d'urgence au siège de l'ONU à New York, sous le thème «Un avis consultatif de la Cour internationale de justice (CIJ) sur les conséquences juridiques découlant des politiques et pratiques de l'entité sioniste en le territoire palestinien occupé, y compris El-Qods-Est, et l'illégalité du maintien de la présence sioniste dans le Territoire palestinien occupé» constituera une halte historique qui sera marquée par le sceau de l'engagement de la majorité des États membres de l'Assemblée générale de l'ONU à l'égard de la cause palestinienne d'une manière déterminée et en dénonçant ouvertement l'entité sioniste et génocidaire. Le représentant permanent de la Palestine auprès des Nations unies, l'ambassadeur Riyadh Mansour, a déclaré à propos de l'événement d'hier que cela «reflète l'avis consultatif de la CIJ, rendu en juillet dernier à la demande de l'Assemblée générale, concernant l'illégalité de la présence sioniste dans les Territoires palestiniens occupés», et d'ajouter qu'il «a été parrainé par 40 pays et était basé sur le droit international, soulignant la nécessité de respecter l'État de droit et les droits du peuple palestinien à accéder à la justice». Riyadh Mansour a souligné qu'«aujourd'hui, le monde doit rejeter les deux poids, deux mesures et se placer du bon côté de l'histoire avec le droit international, la liberté et la paix».
Le représentant permanent de l'Algérie auprès des Nations unies, l'ambassadeur Amar Bendjama, a rappelé, à son tour, lors de ladite réunion qu'il faut «appuyer la résolution historique présentée par l'État de Palestine à l'Assemblée générale (AG) pour mettre fin à l'occupation et permettre au peuple palestinien de jouir de l'ensem Les appels se multiplient par un grand nombre des États membres de l'Assemblée générale des Nations unies exigeant que l'entité sioniste devrait mettre un terme à l'occupation des Territoires palestiniens.
La Chine a appelé, à son tour, à mettre un terme à l'occupation sioniste des Territoires palestiniens, en rappelant à travers son représentant permanent de auprès des Nations unies, Fu Cong, qui a exhorté «l'entité sioniste à répondre à l'appel pressant de la communauté internationale en mettant immédiatement fin à sa présence illégale dans le Territoire palestinien occupé», a-t-il mentionné. La Chine a été claire quant à la solution qui devrait mettre terme à la guerre dans le Moyen-Orient. Dans ce sens, elle a précisé qu'un «État indépendant est le droit inaliénable du peuple palestinien en tant que nation, et que l'occupation illégale prolongée avait entravé la réalisation de l'autodétermination du peuple palestinien et donné à l'entité sioniste un droit de veto exclusif sur la Palestine. C'est inacceptable». La démarcation qui se fait exprimer de plus en plus par les États membres de l'Assemblée générale de l'ONU, contre l'entité sioniste, et le soutien à la question palestinienne, renseigne sur une nouvelle étape qui s'esquisse dans la perspective de permettre au peuple palestinien d'accéder à son droit à l'autodétermination.
L'Assemblée générale des Nations unies apporte son soutien symbolique et moral à la cause palestinienne.