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Station de dessalement de Cap Blanc

Elle sera livrée en janvier

Comme l’a annoncé le président de la République, les 5 stations de dessalement seront opérationnelles.

Objectif atteint ! Comme l’a promis le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, les cinq grandes stations de dessalement d’eau de mer seront opérationnelles avant le mois de Ramadhan. C’est ce qu’on confirmé, hier, le ministre d’État, ministre de l’Énergie, des Mines et des Éénergies renouvelables, Mohamed Arkab et celui de l’Hydraulique, Taha Derbal. Ils ont effectué une visite de travail et d’inspection à la wilaya d’Oran où ils se sont rendus, dans l’une de ces cinq stations, à savoir celle de Cap Blanc. Arkab annonce que cette station sera mise en service en début d’année.
«La station de dessalement d’eau de mer de Cap Blanc dans la commune d’Aïn El Karma (située à l’extrême ouest de la wilaya d’Oran, Ndllr) sera mise en service à partir du mois de janvier de l’année prochaine, 2025», a indiqué le ministre d’État, ministre de l’Énergie.
Il précise que ça sera le début de la phase des essais. «Cette même station sera productive à partir du 27 février de la même année, avant le mois sacré de Ramadhan et ce dans le cadre de la concrétisation du programme du président Abdelmadjid Tebboune», a-t-il ajouté avec beaucoup de fierté. Arkab a souligné «l’accompagnement par la Sonatrach de l’ensemble de ses filiales». Il a également fait savoir que cette société (la Sonatrach,Ndlr) a «mobilisé le gros de ses moyens aéroportés qui se traduisent par 288 avions mobilisés et déployés pour le transport, depuis plusieurs pays du monde vers l’Algérie, de tous les équipements et des installations», en plus «de la mobilisation d’importants financements et des moyens considérables alloués par l’État et par la Sonatrach en particulier pour la réalisation de ces cinq stations de dessalement d’eau de mer», réparties dans plusieurs régions du pays.
La première est implantée à Cap Blanc dans la wilaya d’Oran, la deuxième à Fouka (w. Tipasa), la troisième à Boumerdès, la quatrième à Béjaïa et la cinquième à El Tarf, à l’extrême Est du pays. «Mission accomplie», a fait savoir le ministre qui a tenu à rendre hommage à toutes les institutions qui se sont liées dans la concrétisation de ces projets d’importance à la fois capitale et stratégique. «Le défi afin que nous soyons au rendez-vous visé, la production d’eau à partir de la 1ere semaine jusqu’à la 3e semaine du mois de février de l’année prochaine», a-t-il ajouté.
Dans ses déclarations, le ministre de l’Energie et des Mines n’a pas omis de souligner au passage «la coordination, sans faille, du staff gouvernemental, représenté par les ministères de l’Énergie et des Mines, le ministère de l’Hydraulique et des entreprises algériennes dans la concrétisation de ces projets stratégiques, les cinq stations de dessalement d’eau de mer», rappelant par la même que «le président de la République a mis en place un programme portant sur la réalisation de six nouvelles stations de dessalement d’eau de mer dès la mise en service des cinq stations». Le ministre n’a pas, par ailleurs, dissimulé sa détermination quant à «la poursuite de ces efforts dans la réalisation, jusqu’à leur productivité, de toutes les stations de dessalement d’eau de mer». Intervenant à son tour, le ministre de l’hydraulique, Taha Derbal, a fait état de la «deuxième phase du programme de dessalement, celle-ci prévoit la réalisation, à partir de 2025, de six stations de dessalement d’eau de mer». «Il s’agit d’un projet à la fois prometteur et stratégique», a indiqué Taha Derbal, soulignant «la généralisation de dessalement d’eau de mer et la «réutilisation des eaux traitées». Saluant la Sonatrach et ses filiales qui ont amplement pris part dans la concrétisation de ces projets en apportant leur touche en tant qu’ entreprise publique, le ministre a affirmé que «d’importants projets traduisent clairement la volonté politique et les importants efforts consentis par l’État dans le cadre de l’amélioration du service public, mettre à la disposition du citoyen d’un service public satisfaisant, notamment en ce qui a trait à l’alimentation en eau potable, et ce en prenant en compte les instructions du président de la Tépublique ayant mis l’accent sur cette nécessité tout en prenant en compte les changements climatiques évissant particulièrement en Méditerranée», d’où, a fait savoir Taha Derbal, «la généralisation du dessalement d’eau de mer, le but étant de combler la disette de cette ressource en eau et la réutilisation des eaux traitées». 

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