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Tentative ratée des droit-de-l’hommiste de s’attaquer à elle

L’Algérie déjoue les plans des officines étrangères

L’Algérie a maintenu intacte son approche des droits de l’homme, de la démocratie et de la liberté. Une doctrine qui s’inspire de sa Constitution, de son expérience propre et de son histoire millénaire.

La Ligue des droits de l'homme (la LDH), la Fédération internationale des droits de l'homme (la Fidh) et l'Organisation mondiale contre la torture, l'Omct, sont des organismes travaillant selon un agenda qui renseigne sur leurs connivences avec les chantres du «qui tue qui» en Algérie, durant les années 90 du siècle écoulé.
Ce n'est pas par hasard que l'on entend encore une fois leurs vociférations à l'encontre des institutions de l'état algérien et de sa souveraineté.
Un communiqué commun LDH, Fidh et OMCT, qui a été publié dans le cadre de ce qu'elles appellent «l'Observatoire pour la protection des défenseurs des droits humains», a chargé l'Algérie, l'accusant de faire dans la «dégradation permanente des droits humains» avec des «violations manifestes des droits et des libertés fondamentaux». Cette sémantique creuse et pompeuse a atteint son paroxysme en usant d'un style qui verse dans la sélection, soulignant que «la situation qui porte préjudice et atteinte en matière de droits de l'homme cible les citoyens du Hirak». Pour ces trois satellites au service de l'alliance impérialo-sioniste, il y a des «citoyens du Hirak» et des citoyens tout court. C'est dire que le lexique de ces instruments des nébuleuses supranationales puise dans une approche sélective fondée sur le principe du deux poids, deux mesures.
Les ONG qui ont été citées précédemment ne semblent pas contentes de l'arrêt du «Hirak» qui a duré plus d'une année à hisser l'étendard du changement et de la mobilisation populaire. Cette situation a faussé la donne à ces instruments obéissant à une logique printaniste soutenue et financée par des puissances aux relents expansionnistes et néocolonialistes. La démarche est visible quant à son contenu visant à noircir la situation des droits de l'homme en Algérie, la présentant comme «chaotique», étant donné que cela n'arrangeait pas ses calculs et ses desseins dont l'interventionnisme et le maintien de l'instabilité via des semblants de «révolutions colorées» ou «printanistes» constituent l'alpha et l'oméga de sa stratégie et de son objectif.
D'ailleurs, c'est simple, le communiqué de ce triumvirat assimile la situation de la sorte. «À travers cette vague répressive, les autorités algériennes tentent de briser définitivement la dynamique émancipatrice, citoyenne et pacifique que constitue le Mouvement populaire dit «Hirak» depuis le
22 février 2019». Il est clair que cette version du «Hirak» joue en faveur d'une situation qui plaide la dislocation de l'entité nationale et de la souveraineté du pays. C'est l'objectif principal de ce genre de «révolutions» instrumentalisées et financées par des organismes liés directement aux services de renseignements américaines (CIA). En Algérie, ces organismes financent des semblants d'ONG se donnant corps et âme aux officines américaines. SOS disparus n'est qu'un exemple tangible de cette inféodation à l'Oncle Sam et à ses visées de mainmise et d'hégémonie.
La Fédération internationale des droits de l'homme (Fidh) est connue pour son implication, durant les années 90, aux côtés des terroristes et de la mouvance islamiste, semant l'imbroglio et le doute concernant la responsabilité des groupes terroristes islamistes dans la série des assassinats barbares et la destruction du pays. Cette ONG, inféodée et fiancée par des «instituts» américains qui consacrent leurs efforts à l'exportation de la «démocratie» et de la «liberté», selon leurs promoteurs.
Le retour de ce discours, récemment, à l'égard de l'Algérie, renseigne sur les coups que vient de recevoir ce triumvirat lequel se dissimule derrière la notion d'Organisation non gouvernementale (ONG), alors que ses connivences avec le département de renseignements américain sont avérées. Les puissances étrangères ont tout fait afin de s'ingérer dans les affaires internes du pays. Elles ont même eu recours à la manipulation et à l'instrumentalisation des organisations de pacotille afin d'imposer leur agenda consistant à semer le chaos et l'instabilité via la guerre de quatrième génération. L'Algérie a maintenu intacte son approche des droits de l'homme, de la démocratie et de la liberté. Une doctrine qui s'inspire de sa Constitution, de son expérience propre et de son histoire millénaire. C'est ce qui fait que les vociférations de certaines organisations dites non-gouvernementales disparaissent dans la nature.

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