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Economie de la connaissance

Le secteur fait son bilan

Il a été présenté un état des lieux des avancées réalisées par le secteur ainsi que le bilan des mesures et dispositions réglementaires, institutionnelles et financières.

Dans l'optique d'évaluer et de valoriser les résultats enregistrés dans le domaine de l'économie de la connaissance, une communication relative à la situation du secteur, des start-up et des micro-entreprises, a été présentée mercredi, lors de la réunion hebdomadaire du gouvernement, tenue sous la présidence du Premier ministre,Aïmene Benabderrahmane. Dans ce contexte, selon un communiqué des services du Premier ministre, il a été présenté lors de cette réunion, «un état des lieux des avancées réalisées par le secteur ainsi que le bilan des mesures et dispositions réglementaires, institutionnelles et financières mises en oeuvre dans le cadre du Plan d'action du gouvernement pour la mise en oeuvre du programme du président de la République». Un point de halte qui s'impose dans la mesure où les actions et les dispositions qui ont été adoptées pour le développement de ce secteur, ont affiché des avancées remarquables en un laps de temps très court. Hormis l'importance de la création d'une tutelle spécifique pour ces activités, le volume de concrétisation d'accords et de conventions avec les différents secteurs économiques, à fait de l'économie de la connaissance, et des start-up, un élément indissociable de la relance économique.
Le volet scientifique et opérationnel des start-up, évoluant comme un vecteur de solutions aux problèmes de développement des entreprises, n' a pas manqué d'apporter un souffle nouveau, dont les répercussions sur l'économie nationale commencent à être visibles sur le terrain. Les derniers chiffres font état actuellement de plus de 1000 entreprises ayant obtenu le label de start-up sur un total de 4.000 entreprises enregistrées pour création. L'objectif retenu étant de parvenir à huit start-up pour 10.000 personnes.
Dans le même sillage, il faut dire que l'évolution de la microentreprise a connu un bond inédit, à travers un nouveau statut et de nouveaux mécanismes de gestion, favorisant le volet économique et scientifique, que le volet social. À ce titre, les bénéficiaires de ces dispositifs jouissent désormais d'un accompagnement plus ciblé et plus fort de la part des pouvoirs publics. Un aboutissement qui reflète la pertinence de la nouvelle vision économique, visant à sortir l'économie nationale, notamment la production locale de ses dépendances handicapantes et des anciennes pratiques. Dans le secteur de l'économie de la connaissance, ces premiers résultats sont possibles grâce à des actions spécifiques entreprises dans l'objectif de conférer au secteur les possibilités de se hisser au rang de pan incontournable de l'économie nationale. Ces dernières se sont articulés autour de «la promulgation de la loi portant statut de l'auto-entrepreneur et l'introduction de la société par actions simplifiée, la mise en place du comité national de labellisation, du fonds algérien des start-up, de l'accélérateur de start-up «Algeria Venture» ou encore de la plateforme «startup.dz»» précise le communiqué.
Sur la base de ces données, l'importance de cette mise au point réside dans la détermination des perspectives de développement du secteur, qui se confinent, selon le même document, au niveau de l'importance du «financement et de l'accompagnement des start-up, du lancement d'un programme de soutien et de promotion des incubateurs, ainsi que la réalisation d'un centre de prototypage ou encore la création de structures d'accueil et d'accompagnement au niveau des universités, à travers le renforcement de la collaboration avec le secteur de l'enseignement supérieur». 

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