{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Guerre médiatique, Palestine et lobby sioniste

Les sentences de Salah Goudjil

La presse de l’Occident «tente de masquer les horreurs commises par l’entité sioniste sur la terre de Palestine».

Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, a souligné l'importance stratégique qu'occupe le secteur des médias, car «il constitue la fenêtre et l'interface de l'Algérie dans la promotion de la véritable image de l'Algérie d'aujourd'hui». Cette lucarne sur le monde tient lieu également d'instrument idoine pour faire valoir les acquis de la nouvelle Algérie. Le deuxième personnage de l'État a souligné, à ce propos, «les avancées réalisées grâce à la politique judicieuse et l'approche rationnelle, dont a fait montre le président de la République». Pour Salah Goudjil, qui s'exprimait à l'issue de l'adoption des lois sur l'audiovisuel, la presse écrite et électronique, le chef de l'État a répondu aux aspirations du peuple algérien à travers la concrétisation sur le terrain de ses 54 engagements.
La promesse tenue du chef de l'État est également perceptible dans «la véritable conception de l'État tirée de l'éternelle référence de novembriste», souligne Salah Goudjil, tout en insistant sur «la préservation de la souveraineté politique de notre pays et son renforcement par l'indépendance économique».
La libre parole de l'Algérie et de ses médias tranche avec la compromission dont fait montre la presse européenne. À ce propos, le président du Conseil de la nation a «condamné les pratiques racistes des médias occidentaux et leur comportement hypocrite» qui, insiste-t-il, «ont toujours vanté et promu la morale de la liberté», mais dans les faits, révèlent le «visage laid et raciste», d'une corporation acquise au lobby sioniste. «Elle tente de masquer les horreurs commises par l'entité sioniste sur la terre de Palestine». C'est là une preuve de son manque flagrant de professionnalisme. Une presse propagandiste qui trahit les principes d'une information juste et objective.
Le second personnage de l'État a mis en exergue dans son discours les souffrances comparables des peuples palestiniens et algériens, et également les tentatives des puissances coloniales d'hier et d'aujourd'hui de travestir la réalité. Comme la France coloniale, hier, l'entité sioniste veut, aujourd'hui, tromper l'opinion mondiale en affirmant combattre le terrorisme. Mais les peuples libres savent que «la lutte honorable que mène la résistance palestinienne poursuit l'objectif de libérer sa terre et les Lieux Saints de l'Islam des usurpateurs et pour obtenir son indépendance et sa liberté», a indiqué Salah Goudjil. Quant à Israël, sous couvert de lutte antiterroriste, «il a tué les femmes, les enfants, les adultes, les enfants, les pierres, les animaux et les plantes, au mépris de toutes les conventions internationales et normes humanitaires», a-t-il encore signalé.
Le président du Conseil de la nation appelle le peuple palestinien à «unir ses rangs et à ne pas se laisser tromper». Il les a mis en garde contre de fausses «solutions stériles qui poussent la cause palestinienne au plus bas». Salah Goudjil en veut pour exemple la révolution algérienne qui a rejeté toutes prétendues solutions «promues par le colonialisme français en Algérie, comme la ‘'paix des braves'' et les négociations en présence d'un ‘'tiers'' et autres». Toutes les manoeuvres du colonialisme français ont échoué et «la lutte a continué jusqu'à ce que le pays ait obtenu son indépendance et sa souveraineté totale sur l'ensemble de son territoire».
L'exemple algérien doit donc être médité, hier, durant son combat libérateur et aujourd'hui, à travers sa politique de soutien indéfectible à toutes les causes justes. En cela, Salah Goudjil ne se trompe certainement pas en saluant la position officielle de l'État algérien, tout en exprimant «notre fierté en tant qu'Algériens, qui soutenons les positions historiques de notre État». Lequel a une référence éternelle, celle de Novembre. Et c'est cette référence, soutient le deuxième personnage de l'État, qui amène l'Algérie à défendre, sans aucune nuance, «le peuple palestinien, ainsi que le peuple sahraoui, pour qu'ils obtiennent tous leurs droits. C'est ce qu'a affirmé le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui, dans son dernier discours à l'Assemblée des Nations unies, a appelé à la nécessité d'accorder à l'État palestinien un siège de membre à part entière de l'Assemblée des Nations unies», a rappelé, à juste titre, Salah Goudjil.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré