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Le ministre de la Communication à Constantine

«On doit contrecarrer la guerre cybernétique»

Les médias doivent promouvoir l'image du pays et contrecarrer la guerre cybernétique qui porte atteinte aux réalisations de la nouvelle Algérie sur les plans interne et externe.

En visite de deux jours à Constantine, le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani, a inspecté plusieurs infrastructures de son département, notamment le siège du quotidien public Ennasr, situé à la Zone industrielle Palma, la station régionale de l'Entreprise publique de télévision, la Société d'impression de l'Est et la radio locale de Constantine où il s'est entretenu avec les journalistes qu'il a exhortés «à accompagner les efforts de développement national et à préserver les acquis obtenus dans le domaine du développement de la presse nationale et de la consolidation de son professionnalisme». Néanmoins, le programme du ministre n'a pas inclus la Maison de la presse, une infrastructure bâtie en amiante qui date des années 90 et dont l'état est déplorable. Les journalistes y travaillant espéraient au moins exprimer au ministre leurs préoccupations, notamment en ce qui concerne la situation et les conditions difficiles dans lesquelles ils exercent leur métier. S'exprimant au cercle régional militaire où il a donné le coup d'envoi d'une formation au profit des journalistes et des attachés de communication, le ministre a indiqué que «les sessions de formation des journalistes s'inscrivent dans le cadre du programme du gouvernement axé sur le développement de la communication institutionnelle», précisant que «la session s'inscrit dans le cadre des plans de communication sectoriels coordonnés visant à réhabiliter les cellules de communication et mettre en place un système de communication gouvernemental homogène dans l'ensemble des institutions et administrations publiques».
Une approche concrétisant les directives du président de la République Abdelmadjid Tebboune qui accorde une grande importance à ce secteur sensible. L'hôte de Constantine a mis l'accent, dans son intervention, sur «l'importance de la communication institutionnelle en tant que facteur de la bonne gouvernance, de l'attachement au service public et de la prise en considération des spécificités de la société et de la déontologie». À noter que cette formation a réuni des journalistes et des chargés de communication des wilayas et des communes chefs-lieux de wilayas de Constantine, Khenchela, Oum El Bouaghi, Mila, Sétif et Batna.
Une session de requalification visant, selon le ministre, «à renforcer la contribution des journalistes avec professionnalisme dans les efforts de l'État de développement et de promotion de l'image de l'Algérie et de contrecarrer la guerre cybernétique qui tend à porter atteinte aux réalisations de la nouvelle Algérie sur les plans interne et externe». Autrement dit, la construction de l'Algérie Nouvelle est aussi la responsabilité des journalistes intègres. Aussi, a-t-il assuré que «son secteur poursuivra son plan de travail qui vise essentiellement à promouvoir les performances de la presse publique et privée et garantir le droit du citoyen à une information, juste, correcte et objective», mais aussi à consolider ses rapports avec les institutions de l'État centrales et locales.

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