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Le CNESE scanne les cinq années de la présidence Tebboune

Un quinquennat d'exception

Les efforts déployés dans ces domaines divers ont abouti à des résultats tangibles, puisque l'Algérie a été classée parmi les pays à haut développement humain.

L’Algérie va bien. Elle est entre de bonnes mains. Le rapport du Conseil national économique, social et environnemental qui a passé au crible le quinquennat du président de la République, ses actions et ses initiatives de 2019 année de son élection à la magistrature suprême à 2023, confirme ce constat. Le pays repose désormais sur des bases solides. Un édifice qui s’est construit pierre par pierre depuis que Abdelmadjid Tebboune, candidat à sa propre succession le 7 septembre, est à la tête du pays. Les Algériens ont découvert en sa personne un Président à l’écoute de leurs préoccupations. En matière de logements, de pouvoir d’achat pour les revenus modestes, notamment de santé, d’éducation, de lutte contre les inégalités sociales… Des progrès indéniables ont été réalisés. Le Conseil national économique, social et environnemental atteste et signe. «Ces dernières années, les pouvoirs publics ont déployé des mesures multiples face aux défis démographiques, économiques et sociétaux importants», écrit le Cnese dans son rapport sur le développement social et humain en Algérie 2019-2023. Ces mesures ont permis des «avancées remarquables» dans la lutte contre la fragilité financière des familles, la préservation du pouvoir d’achat, la facilitation de l’inclusion économique, notamment des jeunes et des femmes, le renforcement de la participation à la création de richesse et la garantie de l’accès aux services de base, notent les rédacteurs du document. Concernant ce dernier point, faire référence à la déclaration du chef de l’État est incontournable pour évaluer le changement de cap qu’a connu l’économie du pays qui était chevillée à son secteur pétrolier. La dépendance quasi totale de l’économie nationale à la rente pétrolière «est fatale pour l’intelligence et l’esprit d’initiative», avait déclaré le nouveau président de la République lors de la Conférence nationale sur le plan de relance pour une économie nouvelle, qui s’est tenue en août 2020. Un déclic. Les exportations hors hydrocarbures exploseront. Elles passeront du simple à plus du triple. De quelque 2 milliards de dollars à 7 milliards de dollars environ. Cette mue économique s’accompagnera d’un saut qualitatif notoire dans le domaine social. Les mesures prises dans la lutte contre la précarité, la réduction des inégalités et le soutien aux catégories vulnérables. En plus de la revalorisation des salaires, pensions et allocations, des dispositifs spécifiques œuvrent à soutenir les personnes en situation de handicap, les familles démunies et l’autonomisation économique des femmes, relèveront les experts du Cnese.
Il faut rappeler que la préservation du pouvoir d’achat, son amélioration ont été parmi les premières mesures prises par Abdelmadjid Tebboune au lendemain de son investiture, il y a plus de quatre ans. Une promesse de campagne qu’il a tenue à honorer. L’allocation chômage, passera de 13000 DA à 15000 DA nets d’impôts. Les retraités, une catégorie sociale à laquelle il porte une attention toute particulière, ont bénéficié d’une augmentation allant de 10 à 15% en juin dernier. Un effort qu’il poursuivra encore aujourd’hui. 590 milliards de dinars seront consacrés pour les augmentations de salaires, dans le cadre de la loi de finances 2024. À l’occasion de la célébration du 62e anniversaire de l’Indépendance et de la Jeunesse, il procédera à la distribution de plus de 250000 logements. Une initiative qui n’a pas son pareil au monde. Sur le plan éducatif, le Conseil mettra en exergue «l’engagement soutenu» à développer le système éducatif de la petite enfance à l’enseignement supérieur, en déployant d’importants efforts financiers avec une part «significative» du PIB réinvestie dans les secteurs de l’éducation et de la formation. L’objectif de l’accès universel à l’école obligatoire est sur le point d’être atteint, et ce, grâce à l’augmentation des infrastructures scolaires et du nombre d’enseignants, poursuivent les spécialistes du Cnese qui souligneront que la révision constitutionnelle de 2020 a renforcé le cadre juridique et institutionnel des droits de l’homme.
Ils mettront en exergue les politiques sociales menées en Algérie, ces dernières années, dans le but de nourrir un débat éclairé sur les voies à suivre pour bâtir «une société plus prospère, plus solidaire et plus respectueuse des droits humains». Un sillon tracé par le président Tebboune.

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