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Elle m’a battu, m’a devancé et...

Le fidèle et pauvre généreux mari avait décidé de rapatrier toute sa petite famille au pays, où un brillant avenir l'y attendait, or il croupit désormais, en taule, grâce à l'ex- madame qui a remis aux autorités, des documents compromettants où le faux et son usage, prédominent. Selon ses deux conseils, le malheureux ex-époux, est tombé dans un traquenard sans précédent, dans lequel un commissaire de police serait salement mêlé jusqu'au cou, et, comble d'injustice impunément, puisque le rapport fait par la police des polices, n'a rien donné!
La justice, en ce qui concerne la victime, devenue inculpée, grâce au diabolique stratagème mis en place par madame, est carrément «emprisonnée «par le respect de l'ordonnance de renvoi. Elle a fait son boulot depuis le tribunal de Dar El Beïda (cour d'Alger) à la chambre correctionnelle où le verdict avait été confirmé. Attendons le pourvoi en cassation...
Reste le côté «traquenard», après le divorce et le remariage du mec: il n'en a pas été question car l'ordonnance de renvoi ne l'a jamais évoqué. Evidemment!
La femme a joué et gagné en attendant le retour du dossier de la Cour suprême, et ce n'est pas pour demain. Ne reste à la famille du condamné qu'espérer, à savoir patienter. Jamais le fameux adage bien de chez nous et qui signifie en langue française, à peu près ceci: «Ce sinistre personnage m'a agressé, s'est précipité devant les poursuivants pour se lamenter, avant de se plaindre de coups et blessures ayant entraîné un long arrêt de travail!». C'est, en principe, ce qu'on retient après avoir suivi cette drôle et dramatique histoire, qui a vu un cadre émérite incarcéré, des ouvriers au chômage pour une période d'au moins 2 ans et deux garçons vivant désormais en Europe, avec leur maman divorcée, mais qui a eu l'outrecuidance de se remarier avec un plus jeune qu'elle, en contrepartie d'une solide résidence dans une région lointaine du lieu de résidence de monsieur! Cette triste histoire nous rappelle celle, livrée il y a près d'un quart de siècle, lorsque la maligne Hadjer Benyezzar, l'ex-valeureuse présidente de la section correctionnelle du tribunal de Sidi M'hamed-Alger, avait senti le manège mis en place par l'ingrate épouse, avait monté un stratagème que même Hocine Mouzali, le procureur de l'audience, avait à temps, démasqué, en même temps que la magistrate. C'était la précieuse ère où les magistrats
travaillaient en osmose, juste pour que la justice, ait finalement, le dernier mot!

De Quoi j'me Mêle

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