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Béni-Abbes: mise en service à Igli d'un système de traitement des eaux d'ablutions, premier du genre dans le Sud

quant à Un projet d’un système de traitement biologique des eaux d’ablutions, premier du genre dans le sud du pays, vient d’être mis en service au niveau de la mosquée "El-Qods", dans la commune d’Igli (wilaya de Béni-Abbes), a-t-on appris mercredi du responsable de la communication de l’agence publique du bassin hydrographique du Sahara (ABHS), Farés Charef Eddine, à Bechar. Ce projet innovant d’économie d’eau comprend trois systèmes de traitement des eaux d’ablution de la mosquée et dont les eaux traitées seront destinées à l’irrigation des plantations autour du même lieu de culte, ainsi que pour les besoins des chasses d’eau des lieux de toilettes dans le même établissement religieux, a-t-il expliqué. Ce système de traitement des eaux, conçu par une entreprise algérienne en l’occurrence "Enviro-STEP", permettra le traitement biologique quotidiennement de 3.000 litres d’eaux, via des canalisations enterrées pour la réutilisation des eaux usées et la fourniture de quantités supplémentaires d'eau de qualité en accélérant le cycle d'épuration naturelle de l'eau, mais égalemen t d'assurer l'équilibre de ce cycle et la protection du milieu et de l’environnement, a-t-il ajouté. Ce projet, initié par l’agence nationale de gestion intégrée des ressources en eau (AGIRE), l’ABHS et l’association locale de protection de l’environnement et le patrimoine d’Igli, constitue une opération-pilote à généraliser dans d’autres établissements, notamment les mosquées, les universités et les établissements scolaires, dans le but d’une rationalisation et de réutilisation de l’eau, notamment dans les régions du sud, confrontées à des manques d’eau, a-t-il précisé. Ce système de traitement des eaux, qui est un Don de l’entreprise à la mosquée précitée, à généraliser à travers le sud du pays, permettra une réutilisation planifiée de ces eaux usées et une production de quantités complémentaires d’eau pour les besoins de l’irrigation des espaces verts de ces établissements, ont fait savoir des cadres techniques de la direction locale de l’AGIRE. 

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