{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Josep Borrell « horrifié » par le massacre sioniste contre des Palestiniens qui attendaient de l'aide à Ghaza

Le haut représentant de l'Union européenne (UE) pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell, s'est dit "horrifié" par le massacre commis par les forces d'occupation sionistes contre des Palestiniens qui attendaient de l'aide dans la rue Al-Rashid, à l'ouest de la ville de Ghaza, dont le bilan s'est alourdi à plus de 104 martyrs et 760 blessés. "Je suis horrifié par la nouvelle d'un nouveau carnage parmi les civils de Ghaza qui ont désespérément besoin d'aide humanitaire", a-t-il déclaré judi sur X (anciennement Twitter). "Ces décès sont totalement inacceptables", a-t-il ajouté, soulignant que,"priver la population d'aide alimentaire constitue une grave violation du droit humanitaire international". "Un accès humanitaire sans entrave à Ghaza doit être accordé", a-t-il également insisté. Les forces d'occupation et leurs chars stationnés sur la route côtière "Haroun Al-Rashid", dans la région de Cheikh Ajlin, à l'ouest de la ville de Ghaza, ont ouvert le feu sur des milliers de citoyens du nord de Ghaza, en particulier d e Jabalia et Beit Hanoun, qui attendaient l'arrivée de camions chargés d'aide humanitaire, faisant au moins 104 martyrs et 760 blessés, selon des sources médicales citées par Wafa. Depuis le début de l'agression sioniste contre la bande de Ghaza le 7 octobre, 31 hôpitaux sur un total de 36, ainsi que 152 établissements de santé, sont hors service en raison des bombardements, des destructions et de la privation de fournitures médicales, de carburant et d'électricité ont été partiellement ciblés. La bande de Ghaza, soumise à une agression sioniste continue sur terre, sur mer et dans les airs, vit dans des conditions humanitaires extrêmement difficiles, s'apparentant à la famine. Les Nations Unies ont confirmé que les forces d'occupation sionistes empêchent "systématiquement" l'accès aux habitants de Ghaza qui ont besoin d'assistance, ce qui complique la tâche d'acheminement de l'aide dans une zone qui n'est soumise à aucune loi. Ces dernières semaines, l’occupation sioniste a empêché l’envoi de tous les convois humanitaires prévus vers le nord. La dernière aide autorisée remonte au 23 janvier, selon l'Organisation mondiale de la santé. 

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours