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Engagement en faveur de l’intégration de l’Afrique

L’empreinte de l’Algérie

Jamais dans l’histoire contemporaine, l’Algérie n’avait engagé autant d’émissaires diplomatiques sur le terrain.

Il y a deux jours seulement, des experts algériens de la Compagnie nationale d’électricité Sonelgaz, ont été dépêchés au Niger, en vue d’étudier les possibilités de prêter main forte aux voisins nigériens, et mettre en place une centrale électrique dans ce pays frère. Avant eux, des experts algériens de la Compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach avaient séjourné dans ce pays, dans le cadre d’un projet de création d’une raffinerie de pétrole, incluant des clauses très souples et très avantageuses pour le Niger. Au Burkina Faso, en Mauritanie, en Tunisie, au Sénégal, au Ghana et avec l’Afrique du Sud également, l’Algérie est toujours présente et solidaire.
Il faut se rappeler aussi, la position catégorique de l’Algérie, contre toute intervention armée au Niger et dans les autres pays du Sahel, à la suite des putschs militaires intervenus. N’en déplaise aux oiseaux de mauvaise augure, l’Algérie demeure ce grand frère de l’Afrique qui a toujours agi en conformité avec les aspirations et la volonté des peuples du continent. Caisse de résonance de l’Afrique, et même davantage, l’Algérie est restée constante dans son engagement, en faveur d’une Afrique forte et debout, économiquement intégrée et politiquement indépendante et souveraine. Preuve en sont les multiples plaidoyers diplomatiques engagés par le pays de l’Émir Abdelkader, tout au long de son mandat au sein du Conseil de sécurité, pour la quatrième fois dans son histoire. L’arrivée d’Abdelmadjid Tebboune aux commandes du pays a donné un nouveau souffle à la diplomatie algérienne. En plus des causes justes dans le monde, le président Tebboune a focalisé son attention sur la nécessité de protéger le continent des menaces géostratégiques qui entraînent conflits armés, contrebande, terrorisme et instabilités politiques.
Une telle constance découle des éléments fondamentaux qui déterminent les choix et les positions du pays et sont de notoriété mondiale chez les pays frères, ceux amis et ceux hostiles aussi. En lançant le fonds africain de solidarité, doté d’un milliard de dollars, affecté à l’Agence algérienne de coopération internationale, Tebboune a tenu à marquer une étape nouvelle dans l’engagement du pays, en faveur de l’intégration économique de l’Afrique. Toutefois, face aux menaces géopolitiques grandissantes, Tebboune a mis l’accent sur la dualité « sécurité et développement » nécessitant des solutions et des programmes adaptés pour promouvoir la paix et la sécurité, gages supérieurs de toute stabilité, quelle qu’elle soit. Pays fondateur de l’Union africaine, l’Algérie a été aux postes avancés de cette organisation pour parer au plus urgent. La modernisation de l’organisation, afin de lui permettre de jouer son rôle pleinement, figure parmi les grandes priorités de Tebboune, qui a axé le plaidoyer de l’Algérie sur des questions majeures, comme la promotion de la paix et de la sécurité, la gouvernance, l’intégration et la représentation du continent à l’échelle internationale.
Depuis quelques années, l’Algérie est passée à la vitesse supérieure, tout en maintenant le cap sur l’Afrique, pour concrétiser nombre de projets et d’actions significatives et révélatrices de la volonté et du degré d’engagement affiché. L’implantation des banques dans certains pays africains, l’organisation de foires économiques et commerciales permanentes, l’institution de mesures d’incitation en faveur des investisseurs privés algériens, en vue de s’implanter en Afrique, l’inauguration de nouvelles lignes aériennes reliant l’Afrique à l’Algérie, etc. témoignent de cette nouvelle vision pragmatique du président Tebboune en vue de l’intégration économique du continent. L’Algérie vient encore une fois de faire une offre généreuse supplémentaire, à travers la décision de Tebboune de prendre en charge « annuellement 2000 bourses d’études dans l’enseignement supérieur et 500 bourses dans la formation professionnelle aux étudiants africains ». Parallèlement, l’Algérie œuvre inlassablement à affranchir le continent des vestiges du colonialisme et à l’exempter des potentiels conflits existants, en restant à l’écoute de nombre de pays africains en quête de développement et d’épanouissement socio-économique. Jamais dans l’histoire contemporaine, l’Algérie n’avait engagé autant d’émissaires diplomatiques sur le terrain. Une action supplémentaire qui témoigne de l’attachement de l’Algérie aux valeurs du dialogue et de la concertation dans la défense et la promotion des droits du continent africain.

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