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Décisions de la Conférence de Berlin sur la Libye

Les points importants de la Déclaration finale

- Appel aux parties libyennes et leurs partisans à mettre fin aux activités militaires
- L’engagement à respecter la résolution de l’ONU relative à l’embargo sur les armes en Libye (numéro 1970 de l’année 2011) et à déployer des efforts internationaux pour renforcer la surveillance de l’embargo sur les armes.
- La nécessité de respecter le cessez-le-feu
- La formation d’une «Commission militaire» composée de dix officiers, cinq de chaque côté, avec pour mission de définir sur le terrain les mécanismes de mise en œuvre du cessez-le-feu.
- Appel à l’ONU pour la formation de commissions techniques afin de mettre en oeuvre et de surveiller l’application du cessez-le-feu
- Inviter l’ONU à jouer un rôle dans les négociations pour stabiliser le cessez-le-feu.
- Mettre en place un comité international de suivi, sous les auspices des Nations unies, pour poursuivre la coordination entre toutes les parties participant à la conférence, qui se réunira tous les mois.
- La formation de commissions pour suivre les processus politique, économique, militaire et humanitaire
- Respecter le droit international humanitaire et les droits de l’homme et tenir les responsables des attaques contre des civils ou des zones peuplées ou des enlèvements et des assassinats hors du cadre de la loi ou des violences sexuelles, de la torture et du trafic d’êtres humains, pour responsables.
- Il n’y a pas de solution militaire au conflit en Libye, et de telles tentatives ne feront qu’augmenter les souffrances des Libyens.
- Revenir au processus politique pour résoudre la crise.
- La nécessité de résoudre la crise libyenne par les Libyens eux-mêmes sans ingérence extérieure.
- Appeler toutes les parties libyennes à mettre fin à la période de transition par le biais d’élections libres, inclusives et équitables.
- Soutenir la mise en place d’un gouvernement unifié, inclusif et efficace, approuvé par la Chambre des représentants.
- Soutenir la mise en place d’un système de sécurité nationale unifié en Libyen, sous le contrôle de l’autorité centrale et civile, et restreindre le recours à la force à l’État uniquement.
- Répartition équitable et transparente des revenus pétroliers, en plus de s’abstenir d’hostilités contre les installations pétrolières.
Les États-Unis, la Russie, la France, le Royaume-Uni, la Chine, l’Allemagne, la Turquie, l’Italie, l’Égypte, les Émirats arabes unis, l’Algérie et le Congo, ainsi que les Nations unies, l’Union européenne, l’Union africaine et la Ligue des Etats arabes ont participé à la conférence.
Le président du Conseil présidentiel du gouvernement libyen d’entente nationale, reconnu par l’ONU, Fayez
al Serraj, et le général à la retraite Khalifa Haftar, ont également participé à la conférence de Berlin.

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