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Reprise de la session parlementaire en septembre

Du pain sur la planche pour les députés

Il s’agit, entre autres, du débat autour du Plan d’action du gouvernement et de l’organisation des élections locales…

La clôture de la session parlementaire de la 9ème législature s'est déroulée, hier, au niveau du Conseil de la nation et de l'APN, en présence du Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane et de son staff gouvernemental. Dans son allocution, le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil a indiqué qu'«un gros programme du travail nous attend à l'ouverture de la session parlementaire ordinaire, en septembre prochain, notamment concernant l'examen et l'adoption du Plan d'action du gouvernement. S'ensuivra l'organisation des élections locales, une question qui intéresse directement le Conseil de la nation, étant donné que les deux tiers de ses sièges sont élus par un collège électoral composé de membres des Assemblées populaires de wilaya et des Assemblées populaires communales, en raison également du fait que «le découpage administratif et l'environnement relèvent des compétences du Conseil de la nation». «Ce qui est attendu du nouveau gouvernement, en tant qu'Exécutif, c'est d'apporter des solutions à la crise sanitaire due à la pandémie de Covid-19», a-t-il ajouté. En croisade contre les provocations du régime marocain, il a relevé que «les choses sont désormais claires pour ce qui est de l'hostilité à l'égard de l'Algérie», tout en réaffirmant que «les positions souveraines de l'Algérie concernant les questions internationales resteront immuables». Il a rappelé qu' «en dépit des multiples tentatives d'ingérence des présidents d'Etat, à l'image du Tunisien Habib Bourguiba, Mohamed El Khames roi du Maroc et l'Egyptien Gamal Abdennasser, l'Algérie n'avait jamais toléré une immixtion dans ses affaires internes, même en temps de guerre, durant la révolution ou à l'occasion, du déroulement des négociations d'Evian, pendant lesquelles aucun médiateur n'a été accepté». À l'adresse de l'armée, il dira: «Si durant la guerre d'indépendance, l'Armée de Libération nationale (ALN), a été le coeur battant de la révolution algérienne, aujourd'hui l'ANP, héritière de l'ALN, est le coeur battant de la nation», a-t-il soutenu. «Au-delà de la constance des positions de l'Algérie et du juste soutien aux causes, la démocratisation de l'Algérie qui constitue son immunité, n'arrange pas les affaires de certaines parties ennemies de l'Algérie, particulièrement à l'extérieur du pays», a-t-il poursuivi. De son côté, le président de l'APN a indiqué que «la sortie provocatrice du régime marocain constitue une violation flagrante des us diplomatiques, le franchissement de toutes les lignes rouges». Ce régime, dit-il, «a prouvé à chaque fois son incapacité à contenir sa crise interne, en recourant à la diversion, pour détourner le regard de la communauté internationale, des violations commises dans la région». Pour lui «il tente abusivement de mettre sur un pied d'égalité le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et des questions préfabriquées, à travers son soutien au mouvement séparatiste MAK, classé comme organisation terroriste en Algérie».
La séance de clôture de la session parlementaire, laissée ouverte, intervient conformément à l'article 138 de la Constitution et aux dispositions de l'article 5 de la loi 12-16 organique portant organisation de l'APN et du Conseil de la nation et leur relation fonctionnelle avec le gouvernement.

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