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Par ses mesures prises à l’égard du Hirak

L’ANP protège et sécurise

Pour l’Algérie, on sait qu’il y a un avant et un après-22 février.

L’élection présidentielle de 2019 doit avoir lieu le 12 décembre, Une date qui intervient après plusieurs reports. Initialement prévue pour le 18 avril 2019, puis en juillet. Le scrutin du 12 décembre sera décisif pour le pays qui connaît un mouvement de protestation depuis le 22 février, ayant exigé le départ du l’ex-président de la République qui briguait un cinquième mandat et de tout son gouvernement. Un soulèvement qui avait mobilisé des millions de citoyens sortis dans la rue, pour que l’Armée nationale populaire par son Haut Commandement se range définitivement aux côtés du peuple adoptant ses revendications. L’ANP a eu un rôle central dans ce mouvement, promettant au peuple toute la sécurité et protection, jusqu’à la sortie de la crise. A ne pas en douter, l’ANP a su avec beaucoup de diplomatie préserver la sécurité du pays dans le cadre de la Constitution, tout en proposant des solutions par le biais de son vice-ministre de la Défense, le général de corps d’armée et chef d’état-major de l’ANP Ahmed Gaïd Salah. Dans ses discours, le vice-ministre de la Défense s’est engagé à accompagner le Mouvement populaire, assurant la sécurité et en garantissant que le pays s’en sortira. Des mesures ont été prises pour combattre la corruption, libérer la justice mais certainement lutter contre ceux qui ont tenté de marchander la sécurité de l’Etat en lui portant atteinte juste pour garder le pouvoir en main. Toutes les promesses articulées par l’ANP ont été satisfaites et elle continue à avoir le dernier mot pour garantir la prochaine élection dont elle souligne l’importance. Dans l’une de ses déclarations, le vice-ministre de la Défense avait tenu des propos déterminants, en soulignant que la prochaine élection « se déroulera dans des conditions complètement différentes de celles qui avaient prévalu, lors des précédents rendez-vous électoraux, en ce qu’elle sera organisée à la lumière de données positives sans précédent, caractérisées par un contexte national en pleine mutation, que l’Algérie n’a pas connu depuis l’indépendance ». Le contexte de la conjoncture actuelle dans le pays, demeure inédit, non pas par son ampleur interne uniquement, mais par les desseins qui entourent le pays aussi bien maghrébin, méditerranéens que subsahariens. On assiste à une accélération de l’Histoire, qui n’est cependant pas typique à l’Algérie. D’autres pays connaissent des soulèvements en ce moment même, dont on ignore les conséquences, mais pour l’Algérie, on sait qu’il y a un avant et un après-22 février. Entre-temps et jusqu’au 12 décembre, nous restons dans le cercle du flux des informations parfois complètement erronées. Cela n’empêche que sur le terrain, tout est vérifiable. L’Algérie est restée loin de ce qui se passe dans d’autres pays qui connaissent des mouvements de protestations et où la sécurité est devenue un souci majeur. Affrontements violents, des manifestants et forces de l’ordre blessés et des arrestations en masse. Par contre, la centaine de personnes arrêtées dans le pays lors des manifestations sont à même de dire qu’elles jouissent de tous leurs droits constitutionnels, tout en étant bien traitées. Des détenus d’opinion dit-on ! C’est dans ce contexte qu’évoluent les évènements en Algérie, pays pivot du Maghreb, qui marqueront certainement l’histoire contemporaine de l’Algérie, avec une rupture de l’histoire post indépendance. Le monde retiendra qu’aucune goutte de sang n’a été versée, que la sécurité aussi bien interne qu’externe a été préservée en dépit des tentatives malveillantes de certains partis et des relais de l’ancien système d’internationaliser le Hirak, dont le mouvement qui dure depuis le 22 février n’a connu aucun incident majeur.

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