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Faible écho à ses appels aux rassemblements

La tentative ratée de Rachad

Ceux qui misaient sur un retour aussi grandiose des marches à l’ère de la pandémie de Covid-19, sont des récupérateurs et manipulateurs tous azimuts.

Les appels à une marche du 81e vendredi n'ont pas été suivis par la majorité des Algériens et des Algériennes. Alors que le mouvement Rachad et ses sbires avaient multiplié les rencontres la veille de la présumée manifestation qui devait être «imposante et historique» selon le jargon utilisé par les membres du mouvement Rachad et ses affidés via la Toile et les réseaux sociaux.
Le point culminant desdites rencontres c'est le rassemblement organisé par Dehina à Berlin, la capitale de l'Allemagne.
Lors de cette réunion qui était censée coordonner les «actions» pour réussir cette manifestation estampillée du sceau de «la marche du grand retour du Hirak», les tenants de la nébuleuse islamiste et leurs alliés croyaient dur comme fer que le vendredi 81e allait faire trembler la capitale par les marcheurs et des manifestants d'une manière massive et spectaculaire. C'était pour dire que «notre effort vient de se concrétiser par cette grande mobilisation qui pouvait égaler ou dépasser celle du 22 février et son élan historique.
La nébuleuse islamiste de Rachad pensait réellement qu'elle avait de l'influence et du poids pour orienter et endoctriner comme elle voulait le peuple algérien dans un contexte délicat de la crise sanitaire majeure inhérente à la pandémie de coronavirus, mais aussi les menaces qui guettent la patrie à ses frontières.
Ceux qui misaient sur un retour aussi grandiose des marches à l'ère de la pandémie de Covid-19, sont des récupérateurs et manipulateurs tous azimuts. Ceux qui ont fait du conclave de Berlin un moment «fort « dans la perspective d'une mobilisation populaire record, voire historique même, n'ont pas encore compris que la société algérienne vit au rythme de ses propres contradictions intrinsèques et qu'elle n'obéit pas à des logiques hybrides qui n'ont aucun lien avec les dynamiques propres à la société algérienne. Sans compter la présence de certaines figures qui faisaient l'éloge matin et soir, du régime du président déchu y compris en plein élan populaire du 22 février, à travers une chaîne de pacotille qui a été créée pour une circonstance électorale bien précise, à savoir faire passer le 5ème mandat en usant de la propagande de bas étage et moyennant l'argent et autres privilèges.
Le choc frappe de plein fouet les nébuleuses du Hirak 2, ces agents des officines étrangères et les porte-voix de leurs maî-
tres aux visées néocoloniales ont reçu une douche froide après le fiasco et l'échec cuisant qui a caractérisé la marche du vendredi 81e. L'Algérie dans son ensemble a su déjouer le plan ourdi par une kyrielle d'aventuriers qui voulaient pousser au pourrissement et faciliter la tâche aux puissances dont la cupidité et l'esprit belliqueux ne sont pas à prouver ni à démontrer. La Toile et les réseaux sociaux se sont retournés contre ces haineux qui utilisaient cette dernière dans le but de faire propager les impostures et les vétilles en polluant la conscience sociale par des moyens des plus vils et exécrables. Les nébuleuses du Hirak 2 vont essayer de se «rétracter» tactiquement en changeant momentanément l'approche en recourant à une espèce de méthode qui fera en sorte que le débat sur la mobilisation populaire doit être complètement épargné pour verser dans le mensonge comme à l'accoutumée, pour dire que ce sont eux qui ont appelé le peuple à ne pas investir la rue comme c'était le cas avec le début de la propagation de la pandémie de coronavirus où ils ont appelé les citoyens à sortir manifester et affirmer que le coronavirus est une création du système.
Une chose est sûre, les semblants adeptes du changement sont à la solde de leurs mentors de l'étranger. Il s'agit de plusieurs nébuleuses, chacune est inféodée à son maître dont les intérêts se recoupent avec les autres étant donné qu'il s'agit d'une démarche visant la déstabilisation du pays et de sa souveraineté dans la perspective d'asseoir le chaos au nom d'un «printemps» arabe qui a montré ses résultats.
Le peuple algérien suit de près ce qui se déroule à ses frontières et même dans les pays voisins. Il en connaît un bout quant à la destruction pure et simple d'une nation et de sa dislocation.
Le changement est conçu comme une dynamique légitime, mais cela doit se faire d'une manière intrinsèque, c'est-à-dire au niveau interne et par les forces émanant du pays et non pas sous forme d'un agenda préétabli par des forces étrangères en actionnant leurs mercenaires.

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