{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Activités prospectives au sujet du Doing Business

Le Cnese en phase de propositions

Des préconisations ont été formulées par le Cnese à la BM.

Le rôle assigné au Conseil national économique, social et environnemental Cnese, conformément à la feuille de route tracée par le président la République, est assimilé à un levier d'aide à la décision gouvernementale. D'où l'urgence d'un travail ou un rapport global qui gagnerait à être présenté et étudié pour sa mise en application. Depuis plusieurs mois, le Cnese travaille dans une démarche prospective et résiliente, afin de déceler les points primordiaux à même de constituer les fondements de la politique future des investissements et des réformes structurelles à engager pour ce faire. La démarche englobe plusieurs secteurs d'activités, en relation avec le monde des affaires et de l'économie de manière globale. Il s'agit, en fait, des mesures et mécanismes pouvant apporter les solutions idoines pour la promotion de l'investissement, l'amélioration de l'écosystème idéal à l'entrepreneuriat et l'amélioration des facteurs d'attractivité des investissements directs. En termes clairs, le Cnese qui a hérité de la gestion de la question du Doing Business, entend revaloriser ce dossier, jusque-là souffrant de problèmes de communication et autres auprès des instances internationales chargées des indices de classement. À travers les rencontres sectorielles organisées sur une période, plus ou moins longue, a peaufiné sa démarche prospective de ce dossier sensible, puisqu'il y va de l'image de marque de l'Algérie et de l'état de santé de son économie. Selon les informations fournies par le Cnese, il ressort de la feuille de route issue de ces rencontre, la mise en branle de trois «perspectives axiales», comme base de travail, afin de corriger la trajectoire. «Le rehaussement du comité national dédié à l'amélioration de l'environnement des affaires, l'installation des groupes de travail techniques, de haut niveau, pour le suivi des indicateurs de Ranking pays, et enfin la mise à jour du comité national chargé de ce dossier». Selon les informations fournies par le Cnese, une autre bataille attend l'Algérie avec les instances internationales sur le front du Doing Business. La Banque mondiale ayant suspendu, l'année écoulée, son rapport périodique Doing Business, suite « à des irrégularités ayant entaché ses rapports 2018 et 2020», devra reprendre ses publications, avec l'espoir de voir des données exhaustives et réelles sur le climat des affaires en Algérie. Il incombe aux responsables et membres du Cnese de corriger le tir, à travers des contributions objectives et, surtout, exhaustives. « Des préconisations ont été formulées par le Cnese et les membres du comité national, au sujet de la révision de la méthodologie de travail dans la collecte et l'analyse des données de la Banque mondiale». Il y a lieu de rappeler que «le classement Doing Business classe 190 pays par rapport à leur facilité à faire des affaires. Créé en 2002 par le groupe de la Banque mondiale, ce classement mesure la réglementation des affaires et son application effective dans 190 économies et dans certaines villes au niveau infranational et régional».

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré