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Sous les auspices de son directeur de thèse Djamel Eddine Nibouche

Le cœur «dit» par un jeune professeur

Le directeur de la thèse , le professeur Nibouche a voulu mettre en place une nouvelle approche dans le service de cardiologie en incitant les jeunes docteurs à s’impliquer dans la recherche.

Le Centre hospitalo-universitaire de Beni Messous a vu dans sa salle des Actes la soutenance d'un jeune maître assistant pour sa thèse de professorat, il s'agit du docteur Mourad Boukheloua. Le thème de la thèse est brûlant, voire d'actualité dans le monde médical, à savoir «La maladie coronaire». Le directeur de la thèse est l'inénarrable professeur Djamel-eddine Nibouche, un professeur quoi ne badine pas quand il s'agit de la rigueur scientifique et de la maîtrise dans le domaine médical. La soutenance, dirigée par Le professeur Nibouche avait le mérite de lever le voile sur une maladie «silencieuse qui est la première cause de mortalité en Algérie et dans le monde», selon le professeur Nibouche.
L'approche développée dans la thèse, qui a trait aux maladies cardio-vasculaires, s'est arc-boutée comme cela a été élucidé par le directeur de thèse, le professeur Nibouche en l'occurrence, sur «l'identification des facteurs qui semblent les plus prédictibles de lésions sévères coronariennes, comme le diabète, le sexe masculin, le traitement hypolipémiant, le tabac, la dysfonction ventriculaire gauche, l'âge et l'insuffisance rénale. L'association de ces facteurs de risques entre eux pourra certainement augmenter la prédiction du risque». Toute la thèse du jeune docteur Mourad Boukheloua repose sur ce travail de diagnostic et de thérapeutique en mesure d'aborder la maladie coronaire et les voies et les moyens pour répondre efficacement et rapidement en termes de prise en charge de patients affectés de cette maladie. Le service de cardiologie du Centre hospitalo-universitaire Nefissa-Hamoud, (ex-Parnet) reçoit de nombreux cas en la matière, les statistiques parlent de 80% de cas qui ont un rapport avec la pathologie coronaire. Ce n'est pas pour rien si le service de cardiologie du CHU Nefissa-Hamoud, qui est dirigé par le professeur Nibouche s'est attelé à travailler sérieusement et avec rigueur sur cette pathologie qui guette un nombre important de la population algérienne. D'où l'intérêt de recherche qui s'est soldé par un travail scientifique très poussé et approfondi du docteur Mourad Boukheloua spécialiste en cardiologie interventionnelle, une spécialité très délicate. C'est grâce au professeur Nibouche qui s'est intéressé à la pathologie depuis des décennies qu'aujourd'hui l'Algérie peut se targuer d'être aux premiers plans de la maîtrise de cette pathologie, en exigeant des travaux de recherches et des thèses scientifiques en sciences médicales, dans la perspective d'agir rapidement dans le traitement de cette maladie, mais aussi sa maîtrise et amoindrir les coûts de traitement qui s'abattent comme un véritable fardeau sur le Trésor public.
Le directeur de la thèse, le professeur Nibouche, a voulu mettre en place une nouvelle approche dans le service de cardiologie en incitant les jeunes docteurs à s'impliquer dans la recherche, mais la recherche qui répond à des situations des patients atteints de la maladie coronaire, sans pour autant que le diagnostic et la thérapeutique ne soient en phase d'une manière rapide et efficace. De ce point de vue, le professeur Nibouche et son doctorant en sciences médicales se sont focalisés sur «la recherche de la sévérité de l'atteinte des artères coronaires, en raison de l'impact pronostiqué, mais également thérapeutique», et de préciser dans cette recherche très poussée et rigoureuse «l'importance d'identifier ces malades par la recherche des facteurs pouvant prédire la sévérité des lésions coronariennes. Cette approche permettra de traiter ces patients avant même l'événement cardio-vasculaire, souvent fatal, ou à un stade où les ressources thérapeutiques permettront un meilleur pronostic».
Ce travail de recherche d'envergure internationale de par l'approche et la rigueur scientifiques dans le domaine médical, qui a été suivi par le docteur Mourad Boukheloua et son directeur de thèse, le professeur Nibouche en l'occurrence, aide «à mieux apprécier l'indication d'une exploration invasive dans les délais les plus courts chez cette tranche de population coronarienne qui, à coup sûr, nécessiterait une intervention thérapeutique spécifique».
Il faut rappeler que le travail fait par le professeur Nibouche au sein de son service de cardiologie a été sanctionné par des éléments formés par ledit service qu'il chapeaute depuis une dizaine d'années à telle enseigne que maintenant ses éléments arrivent à réussir le volet de la recherche dans le domaine de la cardiologie avec un niveau digne de celui qui est atteint dans les grands hôpitaux dans le monde, en ce qui concerne la recherche scientifique dans le domaine médical.

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