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El Djeich à propos de la présidentielle

Le verdict reviendra à l’urne

l’éditorialiste a mis en valeur le niveau de conscience du peuple algérien et pointé du doigt les tentatives sournoises de certains cercles.

Le terrain est déblayé, le chemin est tout tracé. Le Commandement militaire a suivi la voie y menant : « En décidant souverainement que notre pays inaugure la nouvelle année avec un nouveau président de la République, à travers le verdict des urnes.» C’est l’idée centrale développée dans le dernier ’éditorial de la revue El-Djeich. Dans son texte, l’éditorialiste a mis en valeur le niveau de conscience du peuple algérien et pointé du doigt toutes les tentatives sournoises de certains cercles pour saper le moral des Algériens et l’autorité de l’Etat. « De par le haut niveau de conscience de notre peuple et l’intégrité de notre armée, les vociférations des hyènes et des traîtres ont été dévoilées », écrit l’éditorialiste avant de trancher que toutes ces calomnies et ces mensonges ont été mis à nu et, avec elles, « toutes les tentatives de saper l’autorité de l’Etat et la pérennité de ses institutions ont avorté ». Dans ce numéro essentiellement consacré au scrutin présidentiel du 12 décembre prochain, El Djeïch fait remarquer que le peuple algérien a grandement apprécié les garanties données concernant le déroulement de l’ensemble de l’opération électorale et « il a acquis la conviction qu’elle se déroulera dans la transparence et un climat de liberté, de démocratie et de concurrence loyale ». Le texte d’El Djeïch ne se fait pas de doute que la postérité retiendra cette position à la fois sage et courageuse du commandement militaire pour amarrer l’Algérie sur des rivages plus cléments et surtout déjouer les calculs d’une ban de agissant, toujours à l’affût. « L’Histoire a consigné pour toujours la position adoptée, cette année, par notre armée, parce qu’elle a permis de dévoiler les agissements de la bande, de la neutraliser et d’éviter à notre pays de sombrer dans les méandres d’un avenir incertain », a écrit l’éditorialiste pointant du doigts ces fossoyeurs de l’idéologie qui ont tenté de diviser le peuple, de saper sa cohésion, de pervertir son histoire et, « par voie de conséquence, plonger le pays dans les affres de l’anarchie et de l’instabilité ». En la matière, des exemples de chaos né de dérives incontrôlées sont légion à travers le monde. Il n’y a en effet qu’ à voir la comptabilité macabre qui se chiffre par centaines dans différentes manifestations à travers le monde. Tel n’est pas le cas en Algérie où des manifestations pacifiques se déroulent à travers le pays sans que la moindre goutte de sang ne soit versée. C’est pourquoi, souligne encore El Djeïch, « la participation en force du peuple algérien à la présidentielle du 12 décembre sera, comme il est attendu, la meilleure réponse aux égarés et aux nouveaux harkis qui ont vite fait de solliciter l’appui de parties étrangères ». Toujours au sujet de ces ingérences étrangères, le même texte rappelle que ces parties ignorent totalement la nature du peuple algérien et ne savent pas combien il est profondément sensible à ce qui pourrait être une ingérence dans nos affaires internes. Ces parties étrangères « ignorent également la spécificité qui le caractérise, celle d’être un peuple qui n’a de leçon à recevoir de personne ». Pour El Djeïch le scrutin présidentiel du 12 décembre prochain sera la preuve que donneront les Algériens de leur fidélité aux sacrifices de leurs aînés, de leur attachement à la préservation de leur unité et de leur amour du pays. Enfin, l’éditorial n’a pas manqué de rappeler que les différents exercices démonstratifs exécutés dans les différentes Régions militaires sont la preuve de l’aptitude de notre armée à faire face à tout danger. « C’est le fruit de la stratégie de de modernisation qui a placé l’élément humain au centre de l’intérêt », a écrit El Djeïch. 

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