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Les services de sécurité ont frappé au cœur de la mafia

Les plages d’Oran totalement libérées

Le plus souvent, des délinquants, des plagistes de circonstance, ne manifestent aucun sentiment de sympathie envers des familles.

La traque est de plus belle, les squatters des sables continuent à faire l'objet de la chasse lancée par les forces de sécurité.
Les plages d'Oran sont toutes libérées des mains des pseudos plagistes. L'accès est désormais gratuit à toutes les plages d'Oran, d' est en ouest. La force de la loi a primé.
Les deux offensives, qui ont été lancées par les éléments de la Gendarmerie nationale, ont été sanctionnées par la saisie de 335 chaises, 86 tables en plastique et 86 parasols installés illicitement dans les sables fins des plages du site vierge de Madagh situé dans l'extrême ouest de la wilaya d'Oran et à El Mactaâ, à l'extrême est de la même collectivité. Lors de ces deux opérations distinctes, les forces de sécurité, représentées par les éléments de la Gendarmerie nationale, sont tombées nez à nez avec des individus qui n'ont aucun lien avec la gestion avec voie de concession des plages.
Ces derniers ont agi de leur propre gré en s'autoproclamant plagistes et maîtres des lieux dans des plages n'ayant pas été soumises à la concession.
Dans leur majeure partie, ces squatters des sables sont constitués de jeunes désoeuvrés n'ayant pour langue de communication que la «violence» et «l'invective», asseyant leur pouvoir qui n'a pas trop duré avant qu'ils ne soient délogés par la force de la loi dans le cadre de la politique de la «gratuité des plages».
En fait, ces indus exploitants des plages ne badinent aucunement dans leur «besogne», ils sont si pressés dans leur «oeuvre» qu'ils ne patientent pas en harcelant les estivants et des familles entières en les sommant de casquer des sommes de 1 500 dinars bien avant qu'ils ne foulent de leurs pieds les sables dorés de Madagh, croyant dur comme fer qu'ils ne seront pas rattrapés compte tenu de l'éloignement de la plage de Madagh des centres opérationnels des forces de sécurité. Aussi, ces squatters sont, dans leur majorité, issus de la petite délinquance, n'affichant aucune circonspection, ni encore moins de précautions envers des familles pudiques venues profiter des ressacs de la mer et fuyant le brouhaha des centres-villes. D'ailleurs, ces petits «maîtres» de la mer se sont déchaînés cette année en «envahissant» les plages de Mers El Hadjadj, et celles de l'ouest d'Oran en l'occurrence Marsat El Hadjadj, Corales, Bousfer-plage,la plage des Andalouses, allant jusqu'à atteindre le site encore chaste de Madagh.
Dans leur «oeuvre», ils ont installé toute une logistique constituée de leur bivouac propre à eux, une tente de fortune, à partir duquel ils avalisent des mesures qu'ils décident.
Des estivants n'en revenaient pas dans leur mécontentement.
Ils font toujours référence aux instructions du ministère de l'Intérieur ayant mis l'accent sur la gratuité des plages en rappelant également le gel de la concession des plages. Force est de constater que ces squatters, faisant la sourde oreille aussi bien à la loi qu'aux cris plaintifs des estivants forçant ainsi ces férus de la plage à faire preuve de docilité en payant sans «trop réclamer».

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