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Le docteur Ouslim Djalal Amine, à Oran

«Nous nous engageons…»

Agé de 44 ans, le docteur Ouslim Djalal est un ancien médecin-conseil et directeur général d'une société privée. Il est connu dans le mouvement associatif et caritatif et membre fondateur de la Fédération de la société civile pour une Algérie, nouvelle dans la wilaya d'Oran.

L'Expression: Pourriez-vous nous résumer les raisons vous ayant motivé à poser votre candidature?
Ouslim Djalal Amine: Alors, d'une part il y a la réelle ouverture du champ politique exprimée par le président de la République, qui a été favorablement accueillie par la population algérienne et principalement par sa jeunesse. Cela s'est traduit après la populaire dissolution de l'Assemblée populaire nationale et la décision prise quant à l'organisation, sans précédent de la société civile en listes indépendantes, bien structurées, par une volonté massive et manifeste pour le changement tant attendu. D'autre part, fils d'une grande famille de révolutionnaires et militants de la cause nationale, je ne pouvais pas rester en marge de ces évolutions. Je voulais être acteur dans la construction de mon pays et non pas spectateur. Il faut dire que nous avons été marginalisés, par la «grâce» de personnes nuisibles ayant gouverné notre pays. Donc, j'ai décidé de m'engager dans une liste indépendante qui porte le nom très significatif et symbolique «Nidaa Novembre» portant le numéro 44. Cette liste est composée d'hommes et de femmes intègres, tous enfants de l'indépendance à 80%. Cette liste comprend des jeunes dont 70% d'universitaires chevronnés. Leur seule motivation est celle d'être au service des citoyens de la wilaya d'Oran

Pourriez-vous exposer votre programme électoral?
Nous nous engageons à: reconstruire les institutions constitutionnelles de l'Etat algérien sur des bases solides, travailler à crédibiliser l'Assemblée populaire nationale, moraliser la vie politique et à élaborer un état de droit, moderniser l'administration et le système judiciaire, libérer la profession de journaliste de toute sorte de censure, prendre en charge les préoccupations des couches défavorisées de la société, revoir complètement le système de santé, mettre en place un plan économique pour sortir de la dépendance des énergies fossiles et aller vers une économie basée sur l'industrie toutes branches confondues, en plus de la modernisation de l'agriculture, du développement du tourisme dont le tourisme médical et des énergies renouvelables dites propres, solaires. Nous nous engageons à attirer les compétences algériennes établies à l'étranger, encourager la création de PME/PMI, à développer le secteur de la formation professionnelle, à prendre en charge réellement la jeunesse dans toute sa diversité, ainsi que d'autres points qui nous tiennent à coeur. Je tiens d'abord à saluer l'élan patriotique et l'engagement de la population oranaise. J'ai décelé une grande maturité politique de la part de nos concitoyens et une volonté de reconstruire l'Etat algérien, ensemble. Nous avons abordé plusieurs sujets tels que le logement, le chômage, la santé, la corruption, la lutte contre la bureaucratie et tant d'autres sujets qui préoccupent les citoyens.

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