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La nouvelle session parlementaire s‘est ouverte, hier, dans une ambiance bon enfant

Promesses et défis d'une rentrée

Un grand moment politique et social, surtout que cette rentrée parlementaire intervient après un recul certain de la pandémie de Convid-19. Mais ce sont les défis et les promesse jalonnant ce rendez-vous qui captent l'intérêt des observateurs.

Une ambiance des grands jours a régné, hier, au boulevard Zighout Youcef où sont situés les sièges de l'APN et du Conseil de la nation. C'était le jour de l'ouverture d'une nouvelle session parlementaire. Un grand moment politique et social surtout que cette rentrée parlementaire intervient après un recul certain de la pandémie de Covid-19. Mais ce sont les défis et les promesses jalonnant ce rendez-vous qui captent l'intérêt des observateurs. C'est dire qu'il y a du pain sur la planche pour les députés.
Comme à l'accoutumée, il y avait foule à l'occasion de l'ouverture de la deuxième session parlementaire de la neuvième législature, en présence des membres de l'Exécutif gouvernemental. Aussi, la présence du Premier ministre Aïmene Benabderrahmane a également rehaussé cette ambiance et la cérémonie officielle de lancement de la session parlementaire au titre de l'année 2022/2023.
L'occasion pour les nombreux députés et les sénateurs de reprendre langue avec l'Exécutif gouvernemental, après une brève pause au cours du mois d'août écoulé. Chacun y allait de son côté et, surtout, de son savoir-faire pour aborder tel ou tel ministre.
Même le Premier ministre n'y a pas échappé, donnant du fil à retordre au cordon de sécurité alloué à son service. Ils ont été nombreux à solliciter le Premier ministre, certains pour lui demander des nouvelles au sujet de tel ou tel dossier, d'autres juste pour l'encourager et lui souhaiter bonne chance, et d'autres encore juste pour le saluer à l'occasion. Pour les journalistes qui ne croient pas aux miracles d'une déclaration inespérée du Premier ministre, surtout les cameramen et les perchistes des télévisions, ils ne ratent pas une occasion d'accourir aux moindres haltes de Benabderrahmane et ses accompagnateurs. Dès qu'il croise une connaissance, sénateur, ancien ministre, etc. les flashes des appareils photos retentissent dans l'air accentués par l'acoustique du hall d'entrée des deux édifices du Parlement (APN et Sénat). Côté politique, autant les députés des différents groupes parlementaires, que les journalistes étaient figés aux discours des présidents des deux chambres du Parlement.
Il faut dire que l'été a été doublement chaud, tant avec la canicule et les incendies meurtriers, qu'avec les faits de la géopolitique continentale ou visites d'État de présidents de pays étrangers, notamment la visite de Macron. Dans les arènes des deux édifices parlementaires, l'on s'interroge sur un certain nombre de sujets et de problématiques posés sur la scène politique nationale.
Des parlementaires, sénateurs et députés, abordent les journalistes en quête d'informations au sujet du remaniement en perspective.
Le mouvement dans le corps des walis, visiblement très imminent, est également sur toutes les lèvres. Autant le discours de Boughali, président de l'APN, que celui de Goudjil, président du Conseil de la nation, ont fait sensation auprès des députés, qui n'ont pas manqué de commenter longuement dans les couloirs et hall des deux édifices du Parlement. Mais ce qui a le plus impressionné, lors de cette ouverture de la session parlementaire, c'est cette marche improvisée par les ministres et autres membres du Parlement, à partir du siège de l'Assemblée nationale en direction du siège du Sénat. Ce qui n'a pas manqué de susciter la curiosité des badauds et autres citoyens de passage sur les lieux. 

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