Liste des Publications
-
Culture - 00:00 | 02-01-2020 La Vie en Livre : La rancune de Nadjib Stambouli
L’homme sans qualités
C’est un roman où nulle lumière ne pénètre, sinon celle du style. Il débute par l’enterrement d’un ami et se termine par la fin de ses illusions sur l’amour et l’amitié.
-
Culture - 00:00 | 02-01-2020 La Vie en Livre
Impromptu
-
Culture - 00:00 | 26-12-2019 Impromptu
Les Mémoires à l’américaine
-
Culture - 00:00 | 26-12-2019 «J’étais français-musulman» de Mokhtar Mokhtefi
Des Mémoires au vitriol de la franchise
-
Culture - 00:00 | 19-12-2019 «L’ensorceleuse» de Abderrazak Bensalah
Abracadabrantesque
La dernière page du livre tournée, on a poussé un grand soupir de soulagement. Ouf ! Au diable les djinns, les envouteuses, les exorcistes, au diable Lilia, Souheil, Adel, Mehdi, Asma et même la gentille Loubna, Nadjet et la petite et innocente Nardjes. Et puisqu’on y est, pourquoi oublier Antar l’armoire à glace marocaine ? Pourquoi oublier aussi le ripou général Abdesslam, mort de chagrin. Pas un chagrin d’amour, non, de ce côté-là pas de problème, à la place du cœur il avait un coffre-fort, non, chagrin d’un père qui a vu son fils faire la paire ( va pour la rime) et prendre la poudre d’escampette avec la vénéneuse Lilia, femme fatale. Si fatale qu’on s’est dit que l’auteur en fait des tonnes. Ce n’est plus un roman, mais un film de série B indienne. Ce n‘est pas possible qu’aucun mâle,ne lui résiste. Elle fait d’eux ce qu’elle veut, les rejette, les insulte, puis les reprend, puis les rejette, ouste ! Ça relève de la magie ? Non. D’un manque de profondeur des personnages.
-
Culture - 00:00 | 12-12-2019 Impromptu
Les présidents algériens à l’aune de Mandela
-
Culture - 00:00 | 12-12-2019 Richard Stengel Les chemins de Mandela
Les conseils de Mandela au futur président algérien
-
Culture - 00:00 | 05-12-2019 La Vie en Livre : Les petits de décembre de Kaouther Adimi
La lutte du pot de terre contre le pot de fer
-
Culture - 00:00 | 28-11-2019
La santé et les écrivains
-
Culture - 00:00 | 28-11-2019 La robe blanche de Barkahoum
Autopsie de la condition féminine
Pourquoi Barkahoum. Pourquoi ce prénom négatif ? Parce qu’elle n’était pas désirée, parce qu’elle était née après deux garçons et trois filles. On sait, depuis Freud, qu’on ne guérit jamais tout à fait des traumatismes de son enfance.
-
Culture - 00:00 | 21-11-2019 La vie en livres
Les femmes des présidents algériens