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Des vues en plein jeûne

Tribunal de Bir Mourad Raïs, 1er étage, couloir des juges d'instructions, une animation de fin de semaine, regnait vers les 11h, alors qu'au rez-de-chaussée, l'audience pénale retenait l'intérêt, et que Haouchine, le président du tribunal, qui n'a rien à voir avec Med Houchine, l'inamovible téléspekeur de la RTA, et Fayçal Neggaz, le procureur de la République, effectuaient des rondes en renfort au minuscule guichet unique, Yassine Ouezaà, le jeune et solide juge d'instruction se trouvait en consultation chez le doyen, quand soudain, la porte s'ouvrit et un jeune visiteur montra le bout de son nez.
Le doyen s'adressa à l'intrus, car on n'a pas idée à ouvrir impunément la porte, sans passer par la greffière: «Pardon, jeune homme?
Le visiteur répondait qu'il venait de la cour d'Alger du Ruisseau, en tendant un papier.
C'est alors, qu'Ouezaà, se souvint que l'intrus était attendu avec son affaire de came.
Le jeune répondit que oui.
Il fut alors invité, à rejoindre son bureau, en face de celui du doyen, qui était heureux d'achever la 1ère semaine de Ramadhan dans les conditions les meilleures.
Il était 11h et quelques, nous quittâmes le tribunal, pour Hussein-Dey, où les responsables finissaient péniblement les fameuses statistiques, sans encombre.

De Quoi j'me Mêle

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