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En finir avec les «gamineries»!

«Le jeu malfaisant institué inintentionnellement souvent par certains avocats, en mal de paix, avec des fonctionnaires qui ont, peut-être, tardé au niveau d'importantes structures de la chancellerie, commence à bien faire!»
Cette dure exclamation d'un vieux membre du bâtonnat de Sétif, est, à elle seule, la parfaite illustration d'un tableau noir de la situation qui prévaut entre les «robes noires», toutes les «robes noires»!
Il est vrai que le seul endroit où la vraie démocratie peut s'exercer à tout moment, en tout lieu, et surtout en toutes circonstances quand le droit de la défense est bafouillé, pour ne pas écrire, sans la moindre crainte, «piétiné», reste le bâtonnat!
Evidemment, lorsque la loi est touchée, troublée, écorchée ou simplement abusée, c'est en premier lieu à l'avocat d'intervenir pour mettre le holà, à cette fâcheuse et malheureuse noire et nuisible, situation.
Durant les 20 ans de «réforme de la justice», nous avons relevé une nette amélioration de la situation matérielle de la justice, mais une grande régression en matière de «respect de l'Autre», et l'Autre, c'est «l'homme en noir», pas... l'arbitre de football, mais l'avocat, quoique la situation est exactement la même!
Alors, n'est-il pas temps pour toute la famille des «robes noires», de se réunir durant ces grosses chaleurs, en ces méchants temps de pandémie, qui a accéléré son emprise sur les peuples de la planète, pour mettre fin à ces «gênantes et agaçantes gamineries», pour reprendre l'expression d'un grand avocat, qui a vu passer des générations entières de magistrats et d'avocats, partis souvent, sur la plante des pieds, sans s'excuser le moins du monde, d'avoir planté des «pylones-à-épines-métalliques électriques» qui parasitent les relations chancellerie-barreaux, à chaque tentative d'une entière et totale réconciliation définitive! C'est pourquoi le dernier incident, qui n'en a pas été un, à savoir l'histoire malheureuse de l'auto immobilisée au niveau du parking du tribunal de Dar El Beïda (cour d'Alger), a été finalement un ridicule motif qui a mobilisé les énergies du bâtonnat national et du ministère de la Justice!
«C'était là, une stupide gaminerie, vite oubliée par les responsables qui avaient autre chose de plus sérieux à faire!»,
a dit, sur un ton désolé, Me Mouloud Aboubakeur, avocat au bareau d'Alger et enseignant.

De Quoi j'me Mêle

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