{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

La justice, au singulier

Au cours des discussions, vous n'entendrez jamais dire le mot: «justice», au pluriel.
C'est un des rares mots de la langue de Molière, qui se dit, s'écrit, se prononce au singulier. Et il est non seulement très agréable à l'ouïe, mais encore, délicieux! Vous vous rendez compte: la justice!
Un délice!
Un plaisir de le prononcer!
La Justice est un mot à employer, si possible, uniquement, au singulier, parce qu'il n'y a qu'une seule justice!
Oui, la justice est une, unique, inimitable, irremplaçable et nous sommes même tenté d'écrire: divine!
Oeuvrer en direction de la recherche de la seule vérité, est en soi, un acte noble!
Personne, oui, personne ne peut arrêter le cours de la justice, si bien, que les spécialistes, ont de tout temps, affirmé, «que la justice avait le bras long».
Les justiciables, et les plus malins d'entre eux, le savent très bien, pour l'avoir à maintes reprises, essayé!
On a beau fuir la justice, mais jamais pour longtemps.
Les exemples sont légions, et plusieurs pages entières ne suffiraient pas, à nous convaincre du contraire! Oui, la justice rattrape l'inculpé, quel que soit le temps, les moyens mis en oeuvre, pour l'éviter. Et le jour où la justice est là, faite conformément aux lois en vigueur. Elle est souvent, bienfaisante, d'abord puis, apaisante, parce qu'elle ne peut être qu'ainsi, une fois rendue dans les règles de l'art, proprement et souvent élégamment!
Surtout, si cette justice avait été, appuyée de textes typiquement, vraiment algériens, pas copiés, aveuglément, à l'emporte - pièce, histoire de noyer le poisson, et de passer à autre chose, pas forcément plus prioritaire ou plus importante.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours