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La route continue de tuer

Sid Ali Z. le jeune blessé grave de l’accident survenu près de Tablat (wilaya de Médéa) le jeudi 9 janvier 2020, s’est éteint dans la soirée du samedi à dimanche 12 janvier 2020, après un coma à l’hôpital Frantz-Fanon de Blida, qui a duré trois jours.
Rappelons que le malheureux jeune homme, âgé seulement de 19 ans, qui dormait au moment de l’accident, selon son frère qui était au volant, a dû attendre plus de 30 minutes, avec une profonde blessure à la tête, alors que le sinistre a eu lieu à 5 km seulement de la localité de Tablat, au moment où il n’y avait pratiquement pas de circulation, et donc point de gênants embouteillages, ni quoi que ce soit qui puisse retarder les secours. Nous savons tous que le « qadha oul qadar » est toujours là au moment des accidents, mais tout de même !
Les retards dans les premiers soins peuvent jouer de mauvais tours aux blessés, graves, notamment.
Il y a aussi et surtout ces histoires de gravats non évacués et laissés sur place par des travailleurs négligents, rendant la chaussée dangereuse.
Ce fut le cas jeudi dernier, lorsque les deux passagers frères ont roulé sur le tas de terre et qui ont été renversés, laissant l’auto, roues en l’air.
Le malheureux fut évacué mais le coma n’est pas resté longtemps.
Le coup reçu sur place aura été fatal et la mort, implacable, aura eu le dernier mot.
La victime a été enterrée dimanche soir, après la prière du Maghreb, au cimetière « Berros » de Tablat (wilaya de Médéa).
Nous sommes à peine à presque la moitié du mois de janvier de la nouvelle année 2020, que déjà le nombre de morts sur nos routes, s’élève à 15 : honnêtement et franchement, c’est trop ! Mais alors, qu’est-ce qu’il y a lieu de faire ?

De Quoi j'me Mêle

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