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Les choses sérieuses reprennent!

À Alger, les juridictions ont bel et bien repris les débats tournant autour des brûlants dossiers, portant surtout sur la corruption.
Parmi les inculpés et les accusés, nous trouvons d'ex- walis, d'anciens ministres, et surtout des hommes d'affaires à qui la justice a pas mal de «choses» à reprocher.
Dehors, des citoyens sont agacés lorsqu'ils apprennent que ces justiciables ont écopé de lourdes peines: «Le peuple s'en fiche pas mal que ces gens paient en étant incarcérés, logés et nourris à l'oeil,surtout! Il faut impérativement que l'argent du peuple soit restitué!
Comment? Je me rappelle qu'Abdelmadjid Tebboune, alors seulement candidat à la présidence de la République avait fortement affirmé, qu'il avait une idée pour rendre le bien volé aux Algériens!», marmonne Souad S. une juriste d'un ministère de souveraineté. Pour son compagnon Amine H. cadre dans une société de récupération de métaux ferreux: «Récupérer le fric détourné, et pour certains, envoyé dans les paradis fiscaux, bien à l'abri, me semble une opération ardue, car je vois mal, un Emmanuel Macron, ou un membre des gouvernements, belge, italien ou suisse, intercéder auprès des banques privées pour réussir le miracle. C'est impossible!»

De Quoi j'me Mêle

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