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Tebbi et la pandémie

Voilà bientôt un petit mois que le nouveau ministre de la Justice, garde des Sceaux, a pris ses fonctions, à El Biar, au siège du ministère de la Justice où, quotidiennement des gens désirant rencontrer en personne, Abderrachid Tebbi, afin de lui exposer des faits graves pour certains, urgents pour d'autres, devraient élégamment être éconduits par les jeunes affectés à cet effet, à la réception du public, à qui on tente raisonnablement de leur demander de patienter, le temps que l'équipe de travail quotidien, se mette en place! «Il sera difficile en ces dangereux temps du variant «flottant», de tenter d'introduire des personnes pour discuter de leurs problèmes. Il serait plus indiqué de garder le contact avec la chancellerie, par des écrits! Du temps de Zeghmati, déjà, il y avait sur place une équipe chargée de la résolution des problèmes soumis au cabinet! «Il y aura réponse à toutes les demandes! Positives ou négatives, mais il y aura, vous pouvez être assuré, que monsieur le ministre de la Justice, répondra à tous», confie un jeune et actif conseiller détaché récemment du parquet, d'une cour de la première couronne d'Alger, auprès de l'équipe en charge de l'organisation intérieure de la démarche du cabinet. «Nous ferons en sorte que tout aille bien, pour le justiciable, qui ne doit pas confondre organisation et pagaille», déclare un autre vieux conseiller auprès du cabinet de monsieur le ministre «qui a l'avantage de posséder l'art de bien s'organiser, même avec «la Covid-19 ou son variant», puisqu'il a entre les mains une riche et très longue expérience dans ce domaine précisément, en l'occurrence l'organisation proprement dite!». Ces signaux envoyés par de proches et compétents collaborateurs, de Tebbi, le ministre de la Justice, nous poussent donc à lui accorder un légitime temps de grâce. Ainsi, il pourra entrer en scène, sans stress aucun, ni souci particulier. Il semble, selon des amis, qu'il va débuter son action par faire un nettoyage intérieur du ministère où sont tapis, depuis belle lurette, de drôles d'oiseaux de mauvais augure, qui devraient prendre leur envol le plus tôt possible afin de libérer les saines énergies qui ne souhaitent que du bien à l'appareil judiciaire dans son tout. Ensuite, viendra le tour du fatal et nécessaire mouvement des chefs de cours, qui viendra poser les jalons et la pierre d'achoppement du processus de changement d'hommes, et de femmes qualifiés pour bâtir une nouvelle justice, une justice basée, par exemple, sur les légitimes aspirations du père qui aspire à mourir en laissant ses enfants, à l'abri de dépassements, tel qu'en a connu la société depuis des décennies! De toutes les façons, cet espace est, comme toujours, depuis 2001, le lancement en grande pompe de la fameuse réforme initiée par le regretté grand avocat, Me Mohand Yessad. Cet humble espace, reste ainsi à la disposition de Sa Majesté Dame Justice», et à ceux qui la servent loyalement, avec en tête, Abderrachid Tebbi, le nouveau ministre de la Justice, garde des Sceaux, qui vit «la magistrature dans sa peau» depuis plus de 30 ans!

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