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Oran

Université et Seor font cause commune

L’accord est une convention de coopération qui porte principalement sur la formation, la recherche scientifique et le développement technologique dans des domaines d’intérêt commun.

L'eau, ce liquide vital, continue à faire l'objet de recherche de ses sources et de question de développement de ce créneau dont l'investissement est tant convoité, en plus du partenariat tant recherché. Le dernier en date a été ratifié par l'université d'Oran et la Société des eaux et d'assainissement d'Oran, la Seor. Cet accord est une convention de coopération dont le contenu porte principalement sur la formation, la recherche scientifique et le développement technologique dans les domaines d'intérêt commun. Les signataires de cet accord ont été unanimes en se tournant vers l'avenir, tout en fixant les domaines d'intérêt commun des deux entités. En effet, les clauses de cette convention portent principalement sur les travaux de recherche scientifique et de développement technologique, les études d'intégration, d'adaptation et de modernisation de systèmes, les formations spécifiques (graduation, post-graduation, masters spécialisés et autres. «Aussi, ladite convention fixe l'organisation conjointe de séminaires et de rencontres scientifiques», a-t-on ajouté, soulignant que l'objectif de cette convention est la facilitation de l'accès réciproque aux ressources et aux moyens de recherche, l'acquisition d'équipements, la promotion et la valorisation des résultats obtenus et des compétences scientifiques et techniques chez les deux parties». Cet accord vient à point nommé, étant donné que la demande en la matière est de plus en plus en hausse. Autrement dit, des étudiants optent de plus en plus pour des filières ayant trait à la recherche dans les ressources hydriques. Si l'université investit dans les moyens humains, le fait quant à elle, dans les moyens techniques à mettre en place, en plus du savoir-faire qu'elle a acquis, notamment à la faveur des grand chantiers qu'elle gère, dont principalement l'alimentation de l'Ouest en eau. À cela s'ajoute le suivi rigoureux assuré par le département de Mohamed Arkab, en prenant la question comme une priorité pour laquelle le ministère de l'Energie apporte des réponses à la hauteur de l'événement. D'ailleurs, le ministre et des Mines, lors de sa dernière sortie médiatique, s'est longuement étalé sur la station de dessalement de l'eau de mer d'El Mactaâ/Oran et annoncé, par la même, un plan pour augmenter la production à 500.000 m3/j, fin 2023. En effet, Arkab a annoncé «la mise en place d'un plan de réforme pour structurer la station de dessalement de l'eau de mer (Sdem) d'El Mactaâ (Oran), à même d'atteindre une capacité de production maximale, et ce en vue de limiter les perturbations d'approvisionnement en eau potable dans les wilayas de l'ouest du pays, selon l'agence officielle». Il a précisé que «Sonatrach, à travers sa filiale, Algerian Energy Company (AEC), a adopté un plan à deux phases qui a été approuvé par la société dessalage d'El Mactaâ, en vue d'atteindre la capacité globale maximale de 500.000 mètres cubes/jour à la fin de 2023». La première phase de ce plan d'urgence vise à augmenter la production à 360.000 mètres cubes/j à partir de mars 2023, alors que la seconde vise une production de 500.000 mètres cubes/j en décembre 2023, soit la capacité maximale de la station», a-t-il expliqué ajoutant que «l'opération se poursuit résolument et que «l'AEC a fourni tous les moyens techniques, financiers et humains en vue de réaliser le plan et d'atteindre les objectifs tracés, dans les délais impartis».

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