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Equipe nationale d'escrime

C'est la rentrée des classes

Un premier stage d'une dizaine de jours a débuté et dirigé par les entraîneurs Wassila Yami, Farid Bennour, Ahmed Benyahia et Nassim Bernaoui.

Fin du calvaire! L'Equipe nationale algérienne d'escrime, dans ses trois disciplines, à savoir l'épée, le sabre et le fleuret,retrousse les manches et retrouve le chemin de la préparation pour les prochaines échéances. Dans une ambiance bon enfant, les athlètes de l'EN se sont retrouvés, dans la matinée d'hier, au Centre national de regroupement et préparation des talents de l'élite sportive de Souidania (Alger), pour un stage devant s'étaler jusqu'au 10 octobre prochain. Un stage d'une dizaine de jours dirigé par les entraîneurs Wassila Yami, Farid Bennour, Ahmed Benyahia et Nassim Bernaoui. Comme le stipule le protocole sanitaire mis en vigueur par la tutelle, les athlètes retenus par ce regroupement ont effectué, avant d'entamer le travail, des tests PCR, afin de détecter une éventuelle contamination par le Covid-19. Ces tests se sont déroulés sous l'oeil attentif du docteur Hakima Hamlaoui, désignée par la Fédération pour suivre l'évolution des faits liés à la pandémie. 

Les athlètes retenus pour ce stage préparatif aux prochaines qualifications des jeux Olympiques de Tokyo 2021 sont: Lea Malek, Silia Habbal, Sonia Zebboudj, Kaouther Mohamed Belkebirn, Chaima Benadouda, Nour El Houda Salhi, Mohamed Cherif Kraria, Meriem Mebarki, Afnane Belkahla, Mehdi Ould Braham et Hamza Adel Kasdi. Akram Bounabi et Yousra Zebboudj, quant à eux, n'ont pu rejoindre leurs coéquipiers, étant retenus par des examens au niveau de l'École supérieure en sciences et technologie du sport. La Fédération tente, tant bien que mal, de trouver une issue à leurs cas, afin qu'ils soient au même niveau de préparation de leurs équipiers. Animés d'une grande volonté pour aller de l'avant, les internationaux algériens croisent les doigts en espérant que rien ne viendra les stopper dans leur élan, eux qui s'étaient déjà montrés stupéfaits par le fait que leur discipline soit concernée par l'arrêt provoqué par la propagation de la pandémie. Ceci, étant donné que «l'escrime n'est déjà pas un sport de contact, au moment où les athlètes travaillent avec une tenue protectrice».

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