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Football national

La FAF, les malentendus et le MJS!

La scène footballistique algérienne est émaillée par des luttes intestines qui ne disent pas leurs mots. L'heure est à la remobilisation.

Ça y est! Notre football vit, encore une fois, une bizarre situation qui restera dans les annales sportives! Les politiques se voient contraints de s'en mêler. Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Abderezak Sebgag, voyant que la situation va de mal en pis, convoque 2 membres du BF pour discuter des problèmes intérieurs au foot national. Il ne s'agit pas, là, d'une immixtion, puisque cela rentre dans le cadre de ses prérogatives, et les Verts ne risquent pas une sanction. La preuve, avant cela, Sebgag avait pris la décision de suspendre le président de la Fédération algérienne de handball, Habib Labane, «pour mauvaise gestion». A propos, n'est-il pas temps que le ministre de la Jeunesse et des Sports privilégie «la jeunesse», d'abord, pour ensuite se mêler des «sports» de toutes les disciplines?
En effet, en football, les diverses préparations des équipes d'avant saison, nous poussent à nous poser mille et une légitimes questions, dont celle-ci, d'importance vitale pour la suite du devenir de notre football et de sa crédibilité. Où est passée la promesse faite au lendemain de la découverte de la dérive de notre politique sportive, via celle footballistique? Redresser le «professionnalisme», oui, mais à condition que seuls les adeptes et fans de cette politique laissent faire les clubs qui ont pris le risque d'une telle aventure! Car le football, est une vraie immense aventure! Cette dernière politique nous rappelle, étrangement, un vieil adage qui, littéralement traduit en langue française, donnerait ceci: «Il porte un pantalon rapiécé, alors qu'il arbore à l'auriculaire gauche, au vu et au su de tous, une grosse chevalière!»
En effet, comment peut-on être écrasé sous de faramineuses dettes et recruter à coups de milliards des joueurs vieillissants, voire en voie d'extinction? Ces opérations ont lieu en présence de très jeunes talents qui ne demandent qu'à jouer, à étaler leur éclatante classe et à prouver tout le bien que les gens pensent d'eux!
Et comment peut-on préparer sereinement une saison, alors que «dehors», les guéguerres où des «chikayettes»,avec les mots et les (gros), les tirs nourris et les menaces, battent leur plein? Comment jouer au «wait and see» à la base, lorsqu'en haut, très haut, des luttes intestines ne disent pas leurs mots, où, par exemple, un docteur Mouldi Aïssaoui, l'ex-star de Annaba et de l'USM Alger, est descendu en flammes, pour la seule raison, qu'il n'a pas suivi des «aventuriers», en ne respectant son président?
Alors, laissons la FAF faire son boulot comme ses membres l'entendent, à condition que ces mêmes gus, ne gênent pas le très beau travail du staff de l'envié et jalousé Belmadi, un boulot, certes facile, mais à quel prix? Il faut souligner que, fort heureusement, le grand et talentueux Djamel Belmadi, à travers les performances de l'EN, met un imperméable rideau de... fer d'El Hadjar et préserve l'aura et le rendement des Verts de tous les maux qui rongent «le milieu footeux»! Allah fasse que Djamel reste au gouvernail d'un bateau livré aux quatre vents de la Méditerranée! Heureusement que notre pays ne se trouve pas aux Antilles, sinon, les ouragans, tempêtes et autres tsunami auraient, depuis longtemps, enseveli notre football, la FAF, le BF et ses membres «Hirakistes» avec des catastrophes qui ont pour noms: sorcellerie, gri-gri, sabotage, pseudo-complots, fake-news, et autres misères du genre misérables et misérabilistes! Une chose est quasi certaine et personne ne pourra nous contredire là-dessus: une équipe très bien préparée, entre dans n'importe quelle arène, peut à tout moment assommer n'importe adversaire, chiffres et allant à l'appui, en plus venant, ainsi, rabattre le caquet, à quiconque voudrait nuire à l'équipe championne du moment et à venir! C'est clair, net et précis, et rien ni personne, ne pourra soutenir le contraire!
A méditer que le football, reste et demeure un sport collectif, ni plus ni moins! Et puis attention, Belmadi est assez mûr pour se laisser faire par quiconque. Et comme le chantonne, le plus chaud et populaire fan: «One, two, trai, viva l'Algirai!» ou bien, l'autre, plus mélodieux: «Ya el Khadra, haba, haba!»

De Quoi j'me Mêle

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