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«One, two, three, viva l’Algiré!»

Surprises du Mondial

Les voisins immédiats de l’est du pays des « Fennecs », se sont très bien préparés aux joutes avec les Européens, mais en manque flagrant d’un finisseur du genre d’Islam Slimani, dans ses bottes.

La Coupe du monde a débuté par des coups d'éclat de pays arabes, l'Arabie saoudite a été le premier auteur d'un coup de tonnerre dans le ciel qatari, témoin de l'exploit du voisin saoudi! Suivi par les «Aigles de Carthage» et les «Lions de l'Atlas». Les «Verts du désert» en sont encore à leur inhabituelle ivresse! Les voisins immédiats de l'est du pays, des «Fennecs», se sont très bien préparés aux joutes avec les Européens, mais en manque flagrant d'un finisseur du genre d'Islem Slimani, dans ses bottes. C'est bien, et c'est tout car les Tunisiens n'en sont pas à leur 1er coup de maître. Un autre exemple peut être déversé ici, pour rappeler, simplement, que les Saoudiens ont été corrigés, par le passé. On n'en parle pas, évidemment! Cela nous rappelle un grand directeur de journal, à qui on venait de lui remettre une dépêche, qui évoquait avec un triomphalisme béat, la honteuse évacuation des troupes soviétiques, d'Afghanistan! Il parcourut le texte avant de s'exclamer: «Mais, bon sang, où est passée la 1ère
dépêche qui parlait de la date de l'entrée des troupes étrangères sur le territoire afghan? Après avoir analysé le texte, nous verrons...». Là aussi, nous sommes tentés de demander aux éternels «optimistes», de nous rappeler la date du fameux 7/0, encaissé par l'équipe des Séouds lors d'une Coupe du monde passée. Ce n'est pas l'absence des «Verts» à Doha, qui allait nous permettre d'avaler des couleuvres aussi grosses et tellement grasses! Durant les 1ers matchs du Mondial 2022, une équipe comme le Maroc, a bien géré la 1ère partie. Les joueurs ont évolué pour le plaisir avec leurs talents, leur fougue, leur amour des couleurs et le reste est venu tout seul, avec le coach «maison» qui a su faire mieux que les entraîneurs venus d'ailleurs amasser des milliards de dirhams et repartir, bredouilles! Le Mondial 2022 nous démontre, comme par hasard, que le Maroc, n'a pu percer vers les 8es de finale, qu'en ayant pris un coach local. Comme la Tunisie qui a battu la France, (1-0) avec un entraîneur «oulid el bled». Malheureusement, ces équipes y compris celle de «Tamourth» ne vont jamais jusqu'au bout! Les enjeux et envies sont présents, dans toutes les audacieuses entreprises.
Les surprises font partie intégrante des mondiaux, et l'Algérie de Mehdi Cerbah, Moustafa Dahleb, Chabane Merzekane, Karim Maroc, Salah Assad, Djamel El Eddine Zidane, Lakhdar Belloumi et Rabah Madjer, en créa une, à Gijón (Espagne) en 1982, contre le futur finaliste, l'Allemagne fédérale (2-1)! Ce qui n'a pas empêché les descendants des «Teutons» de bien dormir, car entre- temps, les camarades du «Kaiser», Frantz Beckenbauer ramassaient des titres continentaux et internationaux, par des: «En veux-tu? En voilà!» Pendant ce temps, nous continuâmes à raconter l'exploit de Gigon, à nos petits-enfants, en reprenant les deux merveilleux buts des nôtres. De 1982 à 2022, soit 40 ans après, notre foot boitait, avançait cahin-caha, ahanait, s'échinait à bien se comporter, permettait au Trésor public de dépenser sans compter, des devises alors que certains malades se soignaient à l'étranger, (pour ceux qui en avaient les moyens!) Arriva 2010! On vit alors grand, et on passa au «professionnalisme»! Malgré les appels au calme, de certains «connaisseurs» du foot en général, les responsables nationaux foncèrent tête baissée, tel un sanglier cherchant pitance dans un tas de déchets! Cependant, grâce indirectement au génie de Med Raouraoua, l'ancien président de la FAF, le réservoir de l'EN, qui fera, magiquement, que les instances continentales, pondront le texte des: «Bahamas», et notre pays, connaîtra des jours heureux, dans toutes les entreprises des «Verts»! 2022, marquera la fin d'une génération qui aura mérité de jouer au Qatar, mais les ratés de tous côtés feront le reste! Avec des «SI», on pourrait obtenir tous les objets de valeur, convoités! Alors, parlons vrai, écrivons vrai, raisonnons vrai, en suggérant seulement au staff de Djamel Belmadi, de réfléchir à comment rajeunir l'équipe, en ne gardant que les joueurs trentenaires talentueux! En parlant de rajeunissement, il est utile et nécessaire d'évoquer les catégories de jeunes: les U17, U18, U19 ET U20 de... méritent mieux que ce qu'ils possèdent. Les égards doivent leur être adressés, avec plus de rigueur, de solidité, de solidarité et surtout de rapprochement qu'aujourd'hui! Les jeunes sont l'avenir, et les 1ers matchs de la présente Coupe du monde, le prouvent. Un attaquant de 17 ans, n'est plus jeune lorsqu'il s'agit d'un magicien du ballon rond, n'est-ce pas l'Allemand Musiala? Bien sûr, c'est connu, notre pays en matière de sport en général, et en football, en particulier, est avare de remerciements, envers ceux qui ont fait hisser très haut le drapeau, qui montait, accompagné par un assourdissant «Kassamen»!
Le valeureux septuagénaire Rabah Saâdane, l'ex-très bon boss des «Verts», et ses adjoints, en savent un bon bout! Entre-temps, les luttes fratricides au niveau des dirigeants, ont fait d'incommensurables dégâts moraux, qui ont laissé d'indélébiles traces au niveau de la relève, qui avait ouvert les yeux au milieu de ces luttes, qui n'ont rien donné de bon aux générations futures, à part les fameuses exécrables expressions, telles: «Le peuple est témoin de vos manigances!» «Le peuple s'en souviendra!» On n'a jamais compris le sens de ces interjections, sauf peut-être, les antagonistes eux-mêmes. Sans compter les règlements de comptes, et de «comptes financiers», dont le citoyen n'a jamais su la direction, prise par ces mille milliards de dinars perdus par le Trésor, qui n'a jamais poursuivi aucun de ces étranges gens, connus par la masse sportive, mais ignorés, car inconnus, du ministère public, prompt pourtant à s'auto saisir de n'importe quelle affaire touchant l'intérêt populaire! Ne verra-t-on jamais la justice se faire au grand jour, et demander des comptes à qui de droit? Il faut une décision politique pour mettre la main sur ces «grands - Messieurs» à cols blancs, mais malheureusement, aux mains sales, sales, sales...

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