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Un autre pas en avant

Groupe ou individualités, les joueurs de l'Equipe nationale de football ne laissent pas indifférents. Depuis l'intronisation de Djamel Belmadi, ils enchaînent, assurent, rassurent et séduisent. Avec un coach qui a su mettre sa patte, les Bennacer, Bensebaïni, Atal, pour ne citer que ceux-là, commencent à gagner en maturité, avec, encore, une grande marge de progression. Peu importe l'identité de l'adversaire, l'intensité du match ou son importance, ils se donnent avec une rage de vaincre qui a longtemps manqué à l'EN. Le grand travail que Belmadi effectue ne se limite pas au volet techico-tactique ou physique, il se base, en sus, sur le mental. Désormais, la culture de la gagne est inculquée dans l'esprit de ses protégés, qui raflent tout sur leur passage. Lors de la CAN-2019, remportée en terre égyptienne, plusieurs sont passés de l'ombre à la lumière, à l'image de Bennacer, élu meilleur joueur du tournoi et signataire d'un contrat avec le géant milanais. Depuis, plusieurs joueurs tentent de taper dans l'oeil du coach pour figurer sur ses plans, ce qui lui donne l'embarras du choix pour composer son effectif. En Egypte, il avait utilisé «deux équipes», avant de présenter une autre, vendredi dernier, face au Nigeria (1-0). Trois en un, donc, pour les Verts, dont les inconditionnels commencent à voir plus grand. Mais Belmadi, en homme averti, garde les pieds sur terre: «Notre équipe COMMENCE à atteindre un niveau qui impose le respect de tous, pas seulement en Afrique.» Voilà qui est clair.

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